Disquaires

Voilà, je crée ce topic car ayant constaté le nombre relativement
important de fouineurs, chercheurs chevronnés, fétichistes et autres
collectionneurs de galettes présents sur le LZF, je me demandais s'il
n'était pas possible d'établir une liste de disquaires présents dans
chaque ville en détaillant plusieurs points: nom, situation, types de
musiques (spécialisé dans un/des genre(s)?), supports vendus
(33,78,45,CD...)?
Ce n'est en aucun cas pour leur faire de la publicité,
mais pour faciliter la recherche, et partager de bonnes adresses, car
même avec le net, il n'est pas évident de débusquer de bons disquaires
quand on arrive dans une ville inconnue: tous ne sont pas référencés,
d'autres pas encore ...

Good idea, sur Nice, adresse incontournable:www.hitimport.com

Je me souviens de Hit Import . Déjà , ils passaient des annonces dans Enfer Magazine .

A Paris , il y a ça mais c'est parfois un peu cher.

http://www.vinylunity.com/disquaire-paris/Monster+melodies

C'est une vieille boutique Monster, j' adoooore le nom de la rue, tu vas chercher tes films X là bas mon Philounet??

Non , ce fut une boutique où à un moment donné , on pouvait trouver quelques boots au beau milieu de collectors. Elle existe toujours.


Autre chose :
L'industrie du disque va mal, la Fnac cherche sans doute à réduire ses
effectifs...

Dominique Aria, l'ex-disquaire de la Fnac, a été débouté de son action
hier matin au conseil des prud'hommes de Lille. ...

Licencié au printemps 2008 dans des conditions qu'il estimait et qu'il
juge toujours abusives, l'homme est particulièrement meurtri. Bien que
les attendus du jugement ne soient pas encore connus, les conseillers
prud'homaux ont implicitement donné raison à la Fnac.

Il y a deux ans, Dominique Aria, qui travaille depuis vingt ans pour le
célèbre « agitateur culturel », quitte le magasin en oubliant une
languette antivol dans sa poche. Le portique sonne. Les agents de
sécurité fouillent le disquaire et y trouvent trois CD. Apparemment,
l'intéressé, qui emporte tous les jours des disques chez lui pour les
écouter, n'a pas rempli le formulaire ad hoc. Un détail insignifiant ?
Pas pour son employeur. Dominique Aria est mis à pied et reçoit peu
après sa lettre de licenciement pour non-respect des consignes de sortie
de documents. Le disquaire conteste. Les CD, des disques promotionnels,
lui auraient été confiés par un distributeur. L'affaire fait grand
bruit. Car Dominique Aria est une personne connue dans le monde de la
musique et du rock indé (les labels indépendants). Un comité de soutien,
réunissant plusieurs centaines de personnes, se constitue pour le
soutenir.

Hier, c'est du coup bien évidemment la déception et un sentiment
d'injustice qui règnent parmi les amis de Dominique Aria, qui a décidé
de continuer le combat pour eux. « Je vais faire appel pour tous les
gens qui me soutiennent et pour obtenir justice. » Rendez-vous, donc,
devant la chambre sociale de la cour d'appel de Douai. En attendant,
Dominique Aria recherche un travail. Il avait retrouvé un poste à la
médiathèque de Villeneuve-d'Ascq, mais son contrat s'est achevé il y a
deux mois.

Si vous êtes sur Marseille, voici le site de Stryker que j'ai donc rencontré au concert de Motörhead avec Kilou :

http://www.sabre-tooth.fr/shop/boutique/

Merci pour lui ô grand Sachem
Le stryke devrait m' envoyer ses photos du concert

Phil a écrit:

Si vous êtes sur Marseille, voici le site de Stryker que j'ai donc rencontré au concert de Motörhead avec Kilou :

http://www.sabre-tooth.fr/shop/boutique/

Il faut aller aussi chez Dino à Massilia record là-bas c'est un petit paradis mais attention il vend de la musique pas des quiques en plastique !!

Cinquième édition ce samedi partout en France du Disquaire Day, sur fond de relatif regain d'activité du secteur.

Et de cinq ! Ce samedi, se déroule partout en France le Disquaire Day, autrement dit, en VF, le «jour des disquaires indépendants», autoproclamé «plus grand événement international consacré à la musique enregistrée et le seul à rassembler l’ensemble des acteurs de la filière musicale». Créé en France en 2011 par le Club action des labels indépendants français (Calif), l’événement a vu le jour en 2007 aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne sous l’appellation Record Store Day, et on en trouve désormais des variantes en Allemagne, Italie, Mexique, Australie...
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Musique Le vinyle reverdit au Royaume-Uni
Histoire Le CD a cédé face au streaming Par Christophe Alix

Fête de la musique indoor, si on veut, le Disquaire Day ne fait pas mystère de sa vocation économique dans un secteur qui a plus que sérieusement morflé ces vingt dernières années : en France, pour les disquaires indépendants, le chiffre d’affaires du Disquaire Day équivaut à celui de Noël. Sachant qu’en 2015, le vinyle, qui demeure une niche dans le secteur musical, représente plus de 80% de leurs rentrées financières (contre 30% en 2011). Total, cette année, trois fois plus de lieux participent et 3,5 fois plus de références sont produites qu’en 2011.

Autre signe de (relatif) optimisme, la corporation, donnée naguère en voie d’extinction, avance même des chiffres qui, dans tout autre secteur, pourraient faire ricaner, mais doivent être interprétés ici comme des lueurs d’espoirs : trois ou quatre nouveaux disquaires ouvrent à Paris chaque année et des villes comme Lyon, Rennes, Angers, mais aussi Nevers ou Romans ont vu réapparaître un métier qu’on craignait quasiment aussi obsolète que celui de canut ou de maréchal-ferrand.
Dédicaces et concerts

Ce week-end, le message est clair, le disque a la banane (y compris celui du Velvet, bien sûr), et ça n’est pas un hasard si, en corollaire, l’industrie britannique profite du contexte pour annoncer l’instauration d’un nouveau classement hebdomadaire de ses ventes de vinyles en version albums et singles, avec l’espoir que «près de deux millions d’unités soient vendues d’ici la fin de l’année» (contre 1,29 million en 2014 et 780 000 en 2013).

En France, une centaine d’enseignes avaient participé à la première édition du Disquaire Day et on en recense plus du double cette année − plus un «village» de 12 heures à 19 heures à Paris, place de la République. Editions à tirages limités, séances de dédicaces, concerts, tout est bon pour faire mousser l’événement. Quitte, bien sûr, à ce que certaines opérations apparaissent plus anecdotiques et opportunistes que d’autres. Ici, parmi les quelque 360 initiatives recensées, c’est le groupe Feu ! Chatterton qui commercialise 300 exemplaires de Bic Medium, premier extrait d’un premier album attendu pour septembre ; là, la Gaumont, qui réunit dans une «box inédite en version numérotée» le vinyle de la BO du polar rétro la French (Blondie, Townes Van Zandt...), le DVD et le Blue Ray.
Bowie

Globalement fétichiste (support oblige) et nostalgique, l’initiative permet aussi de voir renaître le premier album méconnu de Genesis (en triple ration, plus 45 tours) en 35 exemplaires ; à un Live at the Fillmore East de 1968 de Sly and the Family Stone d’exister en double vinyle «avec les meilleurs moments assemblés par "Captain" Kirk Douglas de The Roots» ; ou à encore Roxy Music d’exhumer un deux titres en version picture disc toujours kitschounet à souhait.

Clin d’œil à l’actualité muséographique, la Philharmonie de Paris promet «deux vinyles introuvables» (hum! hum!) de David Bowie et, ponctuation live, trente villes accueillent au total une cinquantaine de Disquaire Day Nights, dont pas moins de 21 à Paris. Exemple parmi d’autres, le concert de la très attendue Jeanne Added, avec VKNG, au Badaboum. Une salle parisienne qui a pris la très vilaine habitude de rançonner ses clients en les contraignant à laisser leurs effets personnels au vestiaire, moyennant deux euros par article ! Mais là, on s’éloigne du sujet.
Gilles RENAULT

https://www.ouifm.fr/disquaire-day-lagenda/

http://theculturetrip.com/europe/france/paris/articles/top-10-record-stores-in-paris-an-intimate-music-experience-with-vinyl/

Saint-Gilles (près de Bruxelles) : un nouveau magasin de disques ouvre ses portes ...

https://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_saint-gilles-un-nouveau-magasin-de-disques-ouvre-ses-portes?id=9341313

Le St Joseph ouvre sa porte aux femmes seules

La nouvelle est tombée lors du MaMA Festival : le célèbre disquaire Rough Trade, fondé en 1976 à Londres dans les environs de Notting Hill, risque de bientôt (re)débarquer à Paris. Enseigne de référence du rock indé, son label Rough Trade Records a notamment signé les premiers albums de The Smiths, Cabaret Voltaire, ou The Strokes.

Par Lucien Rieul et Sylvain Di Cristo

Quand Libération l'écrivait rapidement le 9 octobre dernier, "Rough Trade à Paris" n'était encore qu'un projet au stade de la discussion entre le distributeur britannique et Matthieu Pigasse, homme d’affaires et manitou de la presse (Le Monde, Le Nouvel Observateur, Les Inrockuptibles, Radio Nova, VICE France…). Le 14 octobre, à l'occasion d'une conférence du banquier au MaMA Festival, le journaliste et rédacteur en chef de la revue musicale Magic tweetait alors la bonne nouvelle :

#MatthieuPigasse confirme @MaMAevent la réouverture d'un magasin @RoughTrade à Paris avant l'été 2016. #MaMA16 — Franck Vergeade (@fvergeade) 14 octobre 2016

L’ouverture du disquaire serait alors prévue avant l’été 2017, dans un pôle qui réunirait les rédactions des Inrocks et de Nova, ainsi qu’une salle de 1000 places. De quoi perpétuer les très prisés Live at Rough Trade organisés chez les autres enseignes, où se sont récemment produits Mac DeMarco, Kendrick Lamar ou Crystal Castles.

Certains se rappelleront peut-être que Rough Trade s’était déjà établi un temps au 30, rue de Charonne à Paris. Face à des difficultés financières, l’antenne du disquaire londonien avait dû fermer dans les années 90, tout comme celles de Tokyo et de Los Angeles, se cantonnant dès lors à un pop-up store à chaque Disquaire Day parisien.

L'artiste français Arnaud Rebotini, lui, s'en souvient. "Entre 1995 et 1998 environ", le cow-boy de la techno vous y ouvrait la porte (aux côtés d'un certain Ivan Smagghe) et vous conseillait "des disques qu'on ne trouvait pas ailleurs" : "Je travaillais à l'étage du bas, là où se trouvait tout ce qui était musique électronique, de la jungle au trip-hop (très à la mode à ce moment-là) jusqu'à la techno, la hard techno, un peu de hardcore et de house. En haut, il y avait l'indie rock. C'était l'époque où les majors avaient encore de l'argent, j'avais un petit revenu assuré par EMI grâce à mes productions et je bossais chez Rough Trade pour arrondir les fins de mois et m'acheter des disques moins chers."

Pas mécontent de cette nouvelle, Rebotini prévient : "Certains disquaires parisiens vont sûrement se faire du souci, Rough Trade a une forte image dans le milieu du disque et cette boutique risque bien d'attirer du monde."

En attendant l'ouverture, vous pouvez déjà consulter les nouvelles sorties sur le catalogue en ligne de Rough Trade.

http://fr.traxmag.com/article/40222-un-allemand-a-cree-un-google-maps-de-tous-les-disquaires-du-monde

Pour les provinciaux qui seraient susceptibles de monter à Paris :

http://ironmaidenmusiquecollection.eklablog.com/301-ou-acheter-where-buy-p1083588

https://vinylezmoi.wordpress.com/2017/10/25/a-toulouse-le-disquaire-historique/

LE disquaire de Toulouse, pour bibi, c 'est plutôt celui-là https://fr-fr.facebook.com/armadillodisques/
J' y en aurais passé des après-midi là-bas

Donc l'autre, c'est pour les tafioles comme Iron.....

Voilà