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 THE CLASH

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Florian
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Florian


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MessageSujet: THE CLASH   THE CLASH EmptySam 4 Oct - 18:56

The Clash est certainement le groupe le plus important issu de l’explosion punk qui avait balayé l'Angleterre à la fin des années 70. Contrairement aux Sex Pistols, trop "destroy", les Clash ont réussi à survivre assez longtemps pour développer une musique nouvelle sans rien perdre du ton radical et de l'énergie dévastatrice de leurs débuts.
En 1982, les Clash avaient été invités par les Who à participer à leur "Farewell Tour". Le 12 et le 13 octobre, la tournée avait fait étape au Shea Stadium, à New York. C'est à cette occasion qu'a été enregistré l'album qui vient de sortir, "THE CLASH, LIVE AT SHEA STADIUM". On peut également retrouver des images de ces concerts dans un DVD, "THE CLASH LIVE : REVOLUTION ROCK". C'est un documentaire de Don Letts qui retrace toute la carrière du groupe sur scène.

L’histoire des Clash débute en avril 1976 à Londres, dans un squat près de Shepherd’s Bush Green. C’est là qu’un groupe encore sans batteur fait ses premières répétitions. Le guitariste Mick Jones et son copain Paul Simonon, qui joue de la basse depuis trois semaines, sont étudiants aux Beaux-Arts. Les deux autres membres fondateurs du groupe sont le guitariste Keith Levene, qui partira très vite, et le chanteur Joe Strummer. Le vrai nom de Joe est John Graham Mellor. Auparavant, il chantait dans un groupe de pub-rock, les 101-ers, pour passer le temps et pour payer son loyer.

En août 1976, The Clash s’installent dans le district de Camden Town, dans un vieil entrepôt qu’ils viennent de retaper. Ils recrutent un batteur, Terry Chimes, et ils commencent à répéter. Comme on ne veut pas d’eux dans le circuit traditionnel des clubs, c’est leur manager de l’époque, Bernie Rhodes, qui organise des concerts dans des lieux souvent inhabituels, comme par exemple l’Institut d’Art Contemporain.
Ces premiers concerts sont souvent mauvais et houleux, mais rapidement, par leur engagement et par l’énergie qu’ils dégagent, les Clash deviennent une attraction prisée. Très vite, ils intéressent les maisons de disques. Le groupe fait une première audition aux studios Polydor de Londres et enregistre une maquette de cinq titres.

Après l'enregistrement d'une première maquette, le batteur Terry Chimes décide de s’en aller. En décembre 1976, c’est Rob Harper qui le remplace pour le désastreux “Anarchy Tour” qui rassemble les deux groupes punks les plus importants du moment : les Clash et les Sex Pistols.
En février 77, les négociations avec Polydor ayant échoué, les Clash signent chez CBS pour la somme record à l'époque de cent mille livres sterling. En l’espace de trois week-ends, ils enregistrent leur premier album, “THE CLASH”, qui sort le 8 avril 77.

L’album “The Clash” est N°12 en Angleterre, mais leur premier single, “White riot”, ne dépasse pas la trente-huitième place du hit-parade. Il faut dire que le groupe fait peur et qu’il ne passe pratiquement pas en radio. Aux Etats-Unis, c’est encore pire : CBS refuse de sortir l’album. Mais le bouche-à-oreille fonctionne et il s’en importe plus de cent mille exemplaires, ce qui constitue encore à ce jour un record outre-Atlantique.

Le premier album des Clash ne soulève ni l'enthousiasme de leur maison de disques, ni celui des radios, mais le public le plébiscite et l'achète en masse. Le groupe embauche alors un nouveau batteur, Nicky Headon, surnommé "Topper". Il a été choisi parmi deux cent six postulants et il fait son apparition lors du “White Riot Tour”.

Dans le référendum des lecteurs du New Musical Express en 1977, les Clash sont cinquièmes dans le classement du meilleur groupe, cinquièmes également dans celui des meilleurs compositeurs, et sixièmes dans la catégorie "meilleur album". En avril, Topper Headon et Paul Simonon sont arrêtés par la police et condamnés pour avoir tué à coups de fusil des pigeons-voyageurs de compétition. Cette affaire rocambolesque n'est qu'un exemple parmi les nombreux ennuis que le groupe aura avec l'ordre établi tout au long de sa sulfureuse carrière.

C’est le 10 novembre 1978 que sort “GIVE ‘EM ENOUGH ROPE”, le deuxième album des Clash. Il a été réalisé à grands frais sous la direction de Sandy Pearlman, le producteur habituel du Blue Oyster Cult. Il entre directement à la deuxième place des charts anglais et donne au groupe son premier véritable succès, “Tommy Gun”, qui se classe N° 19.

En février 1979, The Clash embarquent pour leur première tournée américaine, baptisée “Pearl Harbour Tour”. Ils ont choisi Bo Diddley pour assurer les premières parties de leurs concerts.
De retour en Angleterre, ils publient “THE COST OF LIVING”, un mini-album de quatre titres où ils reprennent le classique de Bobby Fuller : “I fought the law”. On retrouvera ce titre un peu plus tard dans la bande originale du film “Rude boy” qu'ils sont en train de tourner. “I fought the law” est aussi le premier single qu'ils publient aux Etats-Unis.

En mai 1979, il y a des élections officielles en Angleterre. Aux élections parallèles organisées par le New Musical Express auprès de ses lecteurs, c’est Joe Strummer qui est élu Premier ministre. Il forme aussitôt son gouvernement avec Malcolm McLaren aux Finances, Village People à la Défense, Lemmy, de Motorhead, à la Santé, et Jean-Jacques Burnel, des Stranglers, comme ministre des Affaires Européennes. Décembre 79 marque la sortie du chef-d’oeuvre des Clash, le double-album “LONDON CALLING”.

Produit par Guy Stevens, l’ex-mentor de Mott The Hoople, “London calling” est un mélange réussi de rock’n’roll, de rockabilly, de ska, de disco et de reggae. Avec le recul, ce disque apparaîtra comme l'égal des plus grandes réussites de l’histoire du rock. Les lecteurs du magazine américain “Rolling Stone”, qui fait référence en la matière, classeront “London calling” meilleur album des années 80, puis meilleur album de tous les temps.

Après la sortie du film “Rude boy” en février 1980, The Clash partent pour New York. Ils s’enferment au studio Electric Lady pour terminer le triple album “SANDINISTA” qui parait en décembre 80. Pour la première fois, les chansons ne sont plus signées Strummer / Jones, mais tout simplement The Clash. Les critiques sont très bonnes, mais le public n'est pas du même avis. Le single “The call up” se hisse péniblement à la quarantième place des hit-parades.

The Clash se remettent alors au travail. Ils publient dans un premier temps le single “This is Radio Clash”, puis l'album "COMBAT ROCK', qui paraît en mai 1982. C'est leur plus gros succès outre-Atlantique où il se vend à plus de trois millions d’exemplaires. La réussite est au rendez-vous, mais l'ambiance au sein du groupe est loin d'être sereine.

A la veille de la tournée de promotion de l’album "Combat rock", Joe Strummer disparaît. On le retrouve quelques jours plus tard à Paris, où il avait tout simplement décidé de se mettre au vert. Puis c’est le batteur Topper Headon qui s’en va. En fait, on le pousse vers la sortie. On évoque alors des divergences politiques pour essayer de masquer la vérité : une dépendance à l'héroïne telle qu'il n'est plus en mesure de tenir sa place dans le groupe.

"Combat rock", le cinquième album des Clash, est paru en mai 82, peu avant le départ du batteur Topper Headon. Topper quitte le groupe alors que "Rock the casbah", un titre qu'il a presque réalisé tout seul, est N°8 aux Etats-Unis. C'est Terry Chimes, le premier batteur du groupe, qui revient alors pour le remplacer.
The Clash, qui ont décidé de ne faire aucune promotion pour "Combat Rock" en Europe, tournent intensément outre-Atlantique. Ils assurent notamment la première partie de la tournée d’adieu des Who, une tournée qui fait étape au Shea Stadium, à New York, les 12 et 13 octobre 82. On retrouve l'intégralité du deuxième de ces concerts sur l'album qui vient de sortir : "THE CLASH : LIVE AT SHEA STADIUM".

Le 28 mai 1983, The Clash se produisent en tête d'affiche à l'US Festival, à San Bernardino. C'est la dernière apparition de Mick Jones avec le groupe, dont il est renvoyé officiellement quatre mois plus tard. L'album qui sort en septembre 1985, "CUT THE CRAP", apparaît comme l'ultime sursaut d'un groupe à l'agonie.
Il ne reste alors dans The Clash que deux de ses membres fondateurs : Joe Strummer et Paul Simonon. Ils sont épaulés par Pete Howard (l'ancien batteur de Cold Fish), et par deux nouveaux guitaristes, Vince White et Nick Sheppard. Mais la magie n’opère plus, et le petit succès du titre “This is England” ne permet pas au groupe de refaire surface.

Les Clash se retirent définitivement en novembre 85 et les quatre musiciens s'envolent vers des horizons différents. Mick Jones forme le groupe multiracial Big Audio Dynamite. Joe Strummer se lance dans le cinéma, un peu en tant qu'acteur mais surtout en tant que musicien. Il participe notamment à "Walker", "Straight to hell", "Permanent Record" et "Mystery train". En 1989, il tourne avec The Latino Rockabilly War, le groupe qui l'accompagne sur son premier album solo, "Earthquake weather".
Les deux autres Clash sont plus discrets, volontairement ou non. Paul Simonon disparaît pour se consacrer à la peinture. Quant à Topper Headon, il publie un album, "Waking up", avant de passer quinze mois en prison pour une sombre affaire de drogue.

Le double CD “THE STORY OF THE CLASH, VOLUME 1” paraît en 1988. Bien que les vingt-huit titres qui le composent ne soient pas présentés dans l'ordre chronologique, il s'agit d'une excellente compilation qui peut servir de base à tous ceux qui veulent découvrir le groupe.
Les fans, eux, sont plutôt déçus, car ils n'y trouvent aucun inédit. Ils sont pourtant intrigués par le sous-titre de l’album : “Volume one”, qui semble sous-entendre qu'il y aura une suite. C’est à partir de cette époque que les rumeurs de reformation des Clash commencent à circuler.

Le 27 janvier 1990, le New Musical Express annonce de source quasi-certaine la reformation des Clash pour juin ou juillet, mais c'est de la pure intox. Certes, Mick Jones vient de dissoudre Big Audio Dynamite, l'album solo de Joe Strummer n'a pas marché et Topper Headon est obligé de faire le chauffeur de taxi pour subsister. Mais ces raisons ne sont pas suffisantes. Connaissant l'intégrité des musiciens, il est évident que si un rapprochement doit se faire, ce ne sera pas pour des motifs économiques, mais artistiques. Et pour bien enfoncer le clou, Paul Simonon forme alors un nouveau groupe, Havana 3 A.M.

En mars 1991, les jeans Levi’s utilisent un vieux titre des Clash, “Should I stay or should I go”, pour illustrer une de leurs campagnes publicitaires télévisées les plus réussies. Ecrit par Mick Jones pour sa petite amie de l'époque, la chanteuse Ellen Foley, ce titre extrait de l’album “Combat rock” avait été le dernier single des Clash originaux en septembre 82. A l'époque, il n'avait réalisé qu'un score modeste. Neuf ans plus tard, il entre directement à la première place du hit-parade britannique.

Alors que le "Clash Revival" bat son plein, Joe Strummer se produit sur scène avec les Pogues et Mick Jones revient avec le groupe BAD 2, le successeur de Big Audio Dynamite.
Le coffret “CLASH ON BROADWAY” paraît fin 1991. C'est une compilation de soixante-trois titres regroupés sur trois CDs, accompagnée d’un livret de soixante-six pages préfacé par Lenny Kaye, le guitariste de Patti Smith. On y retrouve tous les classiques du groupe, plus quelques inédits, des raretés, des faces B et des documents ”live”. S’il déçoit les puristes qui attendaient 2vingt-cinq inédits, “Clash on Broadway” est à l'époque le “must” que tout amateur du groupe se doit de posséder dans sa discothèque.

Après la parution du coffret "Clash on Broadway", on propose au groupe une somme colossale – on parle de plusieurs millions de dollars - pour participer à la fameuse tournée annuelle américaine "Lollapalooza". Mais une fois de plus, c'est non. Toujours en 1991, paraît une nouvelle compilation, "THE CLASH – THE SINGLES", où l'on retrouve les face A des singles anglais du groupe, avec notamment l'original de "Bankrobber". Enfin, il ne faut pas oublier "SUPER BLACK MARKET CLASH" en 1993, qui propose différents titres inédits en albums : des singles, des raretés, des instrumentaux et des versions dub.

Malgré leur refus de se reformer et en dépit de leurs carrières éclatées, les Clash continuent de captiver. Un album-hommage, "BURNING LONDON", paraît en mars 99. Il a été réalisé à l'initiative de Joe Strummer. C'est lui en personne qui a téléphoné aux artistes pour leur demander leur participation, et bien qu'il n'ait pas produit le disque, il en a supervisé toutes les phases d'enregistrement.
Parmi ceux qui ont participé à ce projet, on peut citer No Doubt, Third Eye Blind, Cracker, Silverchair et les Indigo Girls.
C'est également en 1999 que paraît "FROM HERE TO ETERNITY, LIVE", le premier album public officiel des Clash. On y trouve dix-sept titres enregistrés entre 78 et 82, en Angleterre et aux Etats-Unis, depuis le festival "Rock against racism" jusqu'à la tournée nord-américaine de l'automne 82, où les Clash se produisaient en première partie des Who.

Après avoir signé la bande originale du film "Walker", Joe Strummer avait publié son premier album solo, "EARTHQUAKE WEATHER", en septembre 1989. Au même moment, il participait au film de Jim Jarmusch, "Mystery train". Sa dernière apparition au cinéma, il l'a faite en 97 dans "Docteur Chance", où il incarnait un personnage nommé Vince Taylor. Entre temps, il avait travaillé à plusieurs reprises avec les Pogues, comme guitariste et chanteur.
En 1999, Joe Strummer monte un nouveau groupe, The Mescaleros, avec qui il enregistre "ROCK AND THE X-RAY STYLE", puis "GLOBAL A GO-GO", deux ans plus tard. On le retrouve ensuite sur l'album "SMALL WORLD BIG BAND" de Jools Holland, et sur la bande originale du film de Ridley Scott, "Black hawk down", ("La chute du faucon noir"). L'album "STREETCORE", qui paraîtra en 2003, sera son testament.

Joe Strummer meurt le 22 décembre 2002 d'une attaque cardiaque. Au moment de sa disparition, il travaillait sur le troisième album des Mescaleros et il venait de reprendre contact avec ses anciens partenaires des Clash pour préparer un show à l'occasion de leur intronisation au Rock 'n' Roll Hall of Fame. La cérémonie se déroule sans lui le 10 mars 2003 à New York, au moment où sort une nouvelle compilation, "THE ESSENTIAL CLASH", une rétrospective de leur carrière en quarante et un titres.
Quelques semaines auparavant, on avait également évoqué les Clash lors de la cérémonie des Grammies, où ils décrochaient la récompense dans la catégorie "meilleure vidéo longue durée" pour le documentaire "WESTWAY TO THE WORLD".

Après l'expérience Big Audio Dynamite, Mick Jones s'est tourné avec beaucoup de réussite vers la production. Il a travaillé avec Pete Doherty sur les deux albums des Libertines et sur le premier des Babyshambles. Associé à Tony James, l'ancien bassiste de Generation X, Mick Jones a également fondé un nouveau groupe, Carbon / Silicon, qui diffuse sa musique essentiellement sur Internet.
Aujourd'hui, The Clash retrouvent l'actualité avec les sorties de l'album "LIVE AT SHEA STADIUM" et du DVD "THE CLASH LIVE: REVOLUTION ROCK". Un très beau livre simplement intitulé "The Clash" vient également de paraître aux éditions Au Diable Vauvert : sur près de quatre cents pages, il propose de nombreuses photos et documents. Le DVD retrace la carrière du groupe sur scène depuis ses débuts. Quant au CD, il reprend l'intégralité du show donné le 13 octobre 1982 au Shea Stadium de New York, en première partie des Who. Les quinze titres qu'on y trouve constituent un véritable "best of" en public. C'est Joe Strummer qui avait retrouvé les bandes de ce concert par hasard, lors d'un déménagement.
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Rudy
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MessageSujet: Re: THE CLASH   THE CLASH EmptyDim 5 Oct - 8:55

c'est le dernier groupe de rock .....après eux pppppffffffffffffffffffff !!
et eux sont honnête ...il n'y aura jamais de reformation !!
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MessageSujet: Re: THE CLASH   THE CLASH EmptySam 18 Aoû - 16:39

La bande annonce du documentaire sur l'ascension et la chute des Clash. Signé Danny Garcia, il raconte comment un groupe en pleine ascension, a trébuché au début des années 80 après avoir connu la gloire durant 8 ans.

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MessageSujet: Re: THE CLASH   THE CLASH EmptyDim 17 Nov - 22:12

Le Musée de Londres accueillera l'exposition "The Clash : London Calling", du nom de l'album clé du groupe anglais paru en 1979, il y a tout juste 40 ans. Cette présentation comprendra plus d'une centaine d'objets émanant des archives personnelles de The Clash, dont certains rares et inédits.

Parmi ces objets, on note la célèbre guitare basse Fender que le bassiste Paul Simonon a détruite sur la scène du Palladium de New York, le 21 septembre 1979. "J'étais un peu fâché que les videurs ne laissent pas le public se lever de leurs fauteuils. Ils m'ont tellement énervé que j'ai détruit cette basse... On a malheureusement tendance à détruire ce que l'on adore dans un accès de colère", a confié Simonon dans un entretien. Ce cliché en noir et blanc a ensuite été utilisé comme couverture du troisième album du groupe, "London Calling".

L'exposition comprendra aussi des souvenirs, comme les baguettes du batteur Topper Headon, un cahier de notes manuscrites du guitariste Mick Jones, ainsi qu'un carnet du leader du groupe Joe Strummer, sans oublier sa machine à écrire. Des costumes de scène, des photos, des films et des brouillons de paroles seront aussi présentés, "qui donneront un nouvel aperçu du processus d'enregistrement de 'London Calling' ", expliquent les organisateurs.

"Le son d'une génération" (Beatrice Behlen)

Beatrice Behlen, commissaire auprès du Museum of London, a décrit cet album phare de The Clash comme "un cri de ralliement pour les Londoniens et les personnes à travers le monde." Elle ajoute, dans son communiqué : "Au Musée de Londres, nous racontons les histoires de notre capitale à travers les objets et les souvenirs des gens qui ont vécu ici. Cette présentation offre une toute nouvelle vision, excitante et vivante, grâce à des objets personnels rares qui racontent l'incroyable histoire de la manière dont ‘London Calling' était et reste, pour de nombreuses personnes, le son d'une génération".

Un livre de 120 pages, intitulé "London Calling Scrapbook", sortira aussi chez Sony pour coïncider avec l'inauguration de l'exposition. Il comprend des images de nombreux objets rares et inédits datant de la période de l'enregistrement de l'album à succès. "The Clash : London Calling" sera visible du 15 novembre jusqu'au printemps 2020, au Museum of London.

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MessageSujet: Re: THE CLASH   THE CLASH EmptyLun 18 Nov - 10:11

Put... j' avais 12 ans quand ce monument est sorti! What a Face
Je me demande si je ne suis pas en train de vieillir là THE CLASH 150574
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MessageSujet: Re: THE CLASH   THE CLASH Empty

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