Le Foot

Ligue des Champions 2008/2009

GROUPE A : Chelsea, AS Rome, BORDEAUX, Cluj ........ c'est pas gagné ....

GROUPE B : Inter, Werder Brême, Panathinaïkos, Anorthosis Famagouste

GROUPE C : Barcelone, Sporting Portugal, FC Bâle, Shakthar Donetsk

GROUPE D : Liverpool, PSV Eindhoven, MARSEILLE, Atlético Madrid

GROUPE E : Manchester United, Villarreal, Glasgow Celtic, Aalborg

GROUPE F : LYON, Bayern Munich, Steaua Bucarest, Fiorentina

GROUPE G : Arsenal, FC Porto, Fenerbahçe, Dynamo Kiev

GROUPE H : Real Madrid, Juventus Turin, Zénit Saint-Pétersbourg, BATE Borisov

Foot - BEL - Le Standard Liège en L1 ?

Selon plusieurs
quotidiens belges, les dirigeants du Standard de Liège menacent de
déménager en France car ils craignent une future scission en deux ails
linguistiques de la Fédération belge. « Si l'on en arrive à une
scission, le Standard n'aura pas d'autre choix que d'émigrer en France
», a déclaré Luciano D'Onofrio, vice-président du Standard. « Ceci est
un premier pas, mais un pas dangereux. Si la fédération est démantelée,
que restera-t-il ? La crise politique qui paralyse le pays est en train
de s'importer dans le football », a ajouté l'homme fort des champions
de Belgique.

Depuis plusieurs mois, les tensions entre les
communautés linguistiques sont fortes et cette semaine, des
représentants de la Flandre et des partis francophones ont entamé de
délicates négociations sur une réforme du système fédéral belge. La
scission éventuelle du foot belge en deux ailes linguistiques
permettrait aux clubs du nord du pays d'être davantage subsidiés par la
Région flamande, plus riche que la Wallonie. La décision sera prise par
le comité exécutif de la Fédération. (Avec AFP)

faudrait m'expliquer comment ils integreraient le L1?
ca promettrait de belles discutions a la ligue
ils avaient deja envisagé il y a quelques années de faire une seule ligue avec les clubs hollandais, mais là c'etait pour des raisons sportives (augmenter la competitivité)
a+

c'est de simple rumeur ..et seul le foot amateur est scindé ..et c'est pas encore fait la décision est pour décembre ...
pour les pros l'uefa et la fifa ne reconnaissent que les pays pas les région s!

LIGUE DES CHAMPIONS - 3E JOURNEE
MARSEILLE, TOUJOURS À ZÉRO
Les chances de qualifications de Marseille pour les huitièmes de finale ont été réduites à néant par une troisième défaite en trois matches, mercredi, sur la pelouse du PSV Eindhoven (0-2, doublé de Koevermans). C'est la première fois de l'histoire de la C1 qu'un club français ne marque aucun point à mi-parcours

Grâce soit rendue à Raymond "Les Sourcils", on ne le sait pas encore mais monsieur Domenech est un précurseur en matière culinaire.
Notre sélectionneur est en train d' élaborer une nouvelle recette: " Le match pourri à la sauce fond sonore", c' est facile et ça marche à tous les coups.
Prenez onze joueurs bleus (pâles de préférence), choisissez les démotivés et craintifs par rapport à une blessure malvenue dans un calendrier surchargé.
Placez les dans un stade en 4-2-3-1 face à 11 Uruguayens décidés à ne prendre aucun risque.
Dès le coup d' envoi, coupez le son (si vous êtes gourmand, vous pouvez même éteindre votre télé), laissez mijoter 105 minutes, 110 avec d' éventuels arrêts de jeu.
Pendant ce temps, allez sortir le chien ou mémé, tapez le carton avec des copains, faites un calin avec votre chérie bref, profitez de ce temps disponible.
Rallumez l' écran et admirez: un beau 0-0 tout chaud!
Je vous recommande le discours d' après match de notre sélectionneur: "Je suis satisfait on n' a pas pris de but"
Formidable n' est ce pas ?
Au mois de février, une nouvelle recette : "L' andouille à la sauce Sélectionneur flambée à l' Argentine" vous m' en direz des nouvelles!

PSG-OM... pas avant les demies



Le duel franco-français entre le PSG et l'OM n'aura
pas lieu en quarts de finale de la Coupe de l'UEFA. Mais il pourrait se
jouer en demie. Pour accéder au dernier carré et transposer le Clasico
de la Ligue 1 sur la scène européenne, Parisiens et Marseillais devront
d'abord franchir l'obstacle ukrainien. Les coéquipiers de Zoumana
Camara (photo L'Equipe) défieront le Dynamo Kiev, pendant que ceux d'Eric Gerets croiseront la route du Chakhtior Donetsk.
Le tirage au sort effectué vendredi midi, à Nyon (Suisse), nourrit
l'espoir de retrouver un club français en finale : sur l'échiquier
continental, les équipes françaises n'ont jamais perdu face à une
formation ukrainienne (3 victoires et 1 nul).

La perspective de disputer le match aller au Parc des Princes ne
doit guère enchanter Paul Le Guen. Mais le technicien breton pourra se
rappeler que Paris a déjà rencontré Kiev. C'était dans la phase de
poules de la Ligue des champions 1994-1995 : le club de la capitale
avait alors gagné ses deux matches (2-1, 1-0).

Tombeurs de Twente et de l'Ajax Amsterdam, les Phocéens auront en
outre l'avantage de disputer leur quart de finale retour au Vélodrome.
Et même s'il n'est pas qualifié pour jouer la Coupe d'Europe, Brandao -
arrivé sur la Canebière cet hiver, en provenance de...Donetsk - sera
sans doute une source intarissable de renseignements pour l'OM. Qui se
prend à rêver d'une troisième finale en dix ans dans cette Coupe de
l'UEFA. Les deux précédentes - en 1999, face à Parme (3-0), puis en
2004, devant Valence (2-0) - avaient été perdues. G. Ba.

1/04/2009 | 23:27| Foot - L1


Caen enfonce Nantes et les Verts



Se battre pour le maintien est une chose. Occuper concrètement les
places qui expédient vers la L2 en est une autre, beaucoup plus
effrayante. Les deux monuments en péril de la L1, Saint-Etienne et Nantes,
ne sont plus maîtres de leur destin au soir de la 31e journée. Ils
continuent inlassablement à ne pas marquer, à ne pas gagner, et
carrément à perdre, au point d'occuper simultanément les deux places de
relégables aux côtés du Havre, dont la situation est désespérée (22
défaites en 31 matches, 10 points de retard). Ce n'est pas aussi grave
pour Saint-Etienne, battu à Rennes (0-1), ou pour Nantes (0-1 à
Toulouse). Les Verts ont deux unités de retard sur Caen (17e), et les
Canaris, un seul. Mais leur présence virtuelle en L2, alors qu'il reste
sept matches à jouer, évoque la catastrophe industrielle de la
relégation de Lens, l'an passé, et doit provoquer quelques inquiétudes
dans les couloirs de la Ligue.

Pour les deux équipes, un scénario comparable, samedi : une entame
correcte, et un but encaissé au début de la seconde période, scellant
la défaite et révélant un manque de compétitivité maladif. Nantes a
neutralisé Toulouse en première période avant de laisser Gignac
inscrire son premier but de la saison du gauche (53e). Saint-Etienne a
sollicité Douchez à deux reprises en première période, a même touché la
barre transversale à la 19e par Dabo, mais a dû s'incliner sur une tête
de Danzé (50e) après un raid de Leroy relayé par un centre tendu de
Sow. Le succès de Rennes obéit à une certaine logique, Janot ayant
réalisé un match plein dans son but, par exemple devant Sow (62e) ou
encore Danzé (83e).

Dans cette bagarre toujours aussi dense pour le maintien - Monaco,
11e, n'a que six points d'avance sur Nantes - trois clubs ont réalisé
une opération en or. Caen a remporté au Havre (2-1) sa
première victoire depuis le 22 novembre. Autrement dit, il a clos une
série de quinze matches sans succès. Il s'en est fallu de peu, d'une
tête de Lemaître à trois minutes de la fin (87e). Alassane avait
répondu (41e) à l'ouverture du score de Savidan (19e). Nancy a
fait davantage pour le suspense en marquant à la 90e minute par
Macaluso puis après quatre minutes de temps additionnel par Hadji, aux
dépens de Valenciennes (2-0). Le résultat replace les Lorrains
à la quinzième place. Il est logique. Penneteau s'était illustré
pendant tout le match, et Nancy avait touché la barre au début de
chaque mi-temps. C'est la première victoire de l'ASNL à Marcel-Picot en
2009.

Le Mans, enfin, a confirmé que la qualité du jeu sochalien se
diluait face aux équipes a priori les plus prenables. Après avoir
explosé Rennes (3-0), Sochaux a offert au MUC sa troisième
victoire en quatre mois (2-0) et a rendu Francis Gillot si furieux que
l'entraîneur doubien a préféré sécher la conférence de presse. Lamah
(35e) et Maïga (87e) ont profité de l'éternel manque de réalisme des
Lionceaux dans la zone de vérité. Sochaux n'a plus que deux points
d'avance sur le maintien. Le Mans en possède cinq, et Valenciennes en
conserve six. - Cé. Ro.

Ligue des Champions: Manchester United et Arsenal qualifiés pour les demi-finales




Manchester
United et Arsenal se retrouveront en demi-finale de la Ligue des
champions (aller le 29 avril à Old Trafford, retour le 5 mai) venant
ainsi compléter le trio anglais du dernier carré, puisque Chelsea
rencontrera Barcelone à ce stade de la compétition. Mercredi,
Manchester United (qui avait concédé le nul à Old Trafford 2-2 à
l'aller) s'est imposé 1 à 0 sur la pelouse du FC Porto au retour grâce
à un boulet de canon de Cristiano Ronaldo dès la 6e minute. De son
côté, Arsenal, qui était allé chercher le nul en Espagne (1-1), a
confirmé avec une large victoire 3 à 0 sur son terrain contre
Villarreal.Des histoires de revanche en quelque sorte. En 2004,
le FC Porto (vainqueur cette année là, avait éliminé Manchester United
en 8e de finale. Sir Alex Ferguson peut donc savourer. A Villarreal,
Robert Pirès aurait bien voulu jouer un vilain tour à son ancienne
équipe, Arsenal. Il avait quitté l'équipe londonienne en mauvais termes
avec son mentor Arsène Wenger. Malheureusement pour lui, les Gunners ne
lui ont pas laissé ce plaisir.Trois représentants de la "Premier League" en demi-finale, le refrain est connu en C1.Il
y a deux saisons, c'était le Milan AC qui tenait le rôle du
représentant de l'Europe du Sud, cerné par Chelsea, Manchester United
et Liverpool. Les Italiens avaient été au bout, triomphants de
Liverpool, pour une finale revanche de celle de 2005 (gagnée par les
Reds après un renversement de situation inouï: Liverpool était mené 3-0
à la mi-temps et s'était finalement imposé aux tirs au but).La
crise financière actuelle peut-elle changer la donne dans l'avenir?
Peut-être. Les difficultés liées au crédit rendent les clubs anglais
particulièrement vulnérables. Selon le président de la fédération David
Triesman, les clubs sont confrontés à un "danger terrible", une dette
colossale, de trois milliards de livres, concentrée sur les plus gros
clubs, que même les confortables droits de la Premier League risquent
de ne plus suffire à rendre rentables.

Guingamp en voulait trop



L'En Avant Guingamp (L2) a arraché sa qualification pour la
finale de la Coupe de France à Toulouse, mercredi, au terme d'une
partie très tendue (2-1). A onze contre onze, les Bretons étaient
meilleurs. A dix contre onze dès la 52e, ils ont fait basculer un match
qui semblait les fuir.

Au pire moment de sa superbe saison, Toulouse dégage une très nette
impression d'essoufflement que Guingamp a violemment soulignée,
mercredi, en privant le TFC d'une finale de Coupe de France, sur sa
pelouse du Stadium (2-1). C'est une sanction terrible pour l'équipe
d'Alain Casanova, habituellement souveraine au même endroit en
Championnat, et qui aura disputé quasiment un demi-match en supériorité
numérique. Sa défaite, elle l'a concédée à la dernière minute, sur un
coup franc dévié par un joueur à peine entré, Badara Sène. Pour
Guingamp, la réussite du poteau rentrant était celle d'un vent
tournant. Jusque là, il avait enduré une expulsion sévère (52e,
Soumah), un penalty potentiel mué en coup franc direct pour une faute
de Cetto sur Eduardo (81e) et une barre transversale sur un ballon
piqué du même Eduardo (84e). Trois vraies déveines qui n'ont pas
empêché la récompense de tomber.

Toulouse s'est réveillé beaucoup trop tard
Il n'y avait pas de hiérarchie qui vaille entre le cinquième de L1
et le paisible maintenu de L2. Ou alors, celle-ci s'est exercée en
faveur du Petit Poucet, déjà meilleur que Le Mans, en huitièmes de
finale (1-0). Avant de devoir tout gérer à l'énergie en infériorité
numérique, le club breton avait offert le visage séduisant d'une équipe
décomplexée et plus technique que son adversaire. Jouant à terre, plus
efficace à la récupération et incomparablement plus fluide, Guingamp
avait pris l'avantage dès la 29e, sur une touche longue de Felipe
convertie par Eduardo. L'explosion du banc breton avait un sens : les
Guingampais avaient travaillé ces séquences dans la semaine à
l'entraînement. Leur succès aurait pu être complet dès la 45e minute.
Toulouse, alors, avait arrêté sa noyade et commençait à tester Gauclin.
Mais sur un corner, Braaten commettait une erreur de jugement à 70
mètres de son but. En quelques secondes, un contre parfait arrivait sur
Silva Gilson qui, idéalement placé, échouait devant Carrasso pour
obtenir le 2-0.

Le TFC eut lui aussi son raté monumental, dès la 48e, quand une
double erreur de Gauclin et Bassila permettait à Gignac de toucher
Mansaré. Mais le Guinéen s'est emmêlé les pinceaux. L'égalisation
toulousaine vint à la 74e et elle semblait sceller la reprise en main
du match par les présumés cadors. Didot ouvrait sur Gignac côté droit.
Le plat du pied du meilleur buteur de L1 était limpide, mais l'arbre
cachait la forêt. Toulouse s'est réveillé beaucoup trop tard et n'a
jamais totalement abandonné la pauvreté technique de son début de
match, qui le vit perdre un nombre incalculable de ballons, l'empêchant
de donner du rythme ou de dessiner une supériorité. Les Violets ont
perdu du saignant dans les impacts et de la simplicité dans leur jeu.
Ils le payent d'un échec quasiment historique à leur niveau : le TFC
n'a jamais joué d'autre finale que celle gagnée contre Angers en 1957
(6-3) et disputait là sa première demie depuis 1985.

Zvunka ivre de bonheur derrière le grillage
L'équipe guingampaise, elle, a rendu son entraîneur Victor Zvunka
ivre de bonheur, derrière le grillage où il avait trouvé refuge après
son expulsion de la 52e minute. Elle disputera un derby breton contre
Rennes le 9 mai, dans la première finale L1-L2 depuis celle de 2005
entre Auxerre et Sedan (2-1). L'En Avant n'avait jusqu'ici connu que le
Parc des Princes, pour une défaite contre Nice en 1997 (1-1, 3-4
t.a.b.). Mais, alors que la musique celtique résonnait dans les virages
du Stadium après ce succès mémorable, tous les Bretons qui ont vu
Bassila et les siens faire basculer Toulouse sont convaincus d'une
chose : Rennes n'a pas encore gagné le trophée. - Cé. Ro. (à Toulouse)

La coupe de la Ligue aux Girondins de Bordeaux, en attendant(peut-être) le titre de champion

Bravo Guingamp !!!!!!!!!!!!

Govou : "J'aimerais bien marquer"



DPPI

• Infos liées :<LI class=highlight>L1 : Classements
  
• 37e journée : Le programme
  

Avant le match Lyon-Caen, ce samedi pour le compte de la 37ème journée de Ligue 1, Sidney Govou affiche ses ambitions collectives et individuelles. L'ailier international pourrait quitter l'OL au terme de la saison mais il s'attarde surtout sur Juninho, auquel il rend un hommage appuyé.
SIDNEY GOVOU, l'OL vise-t-il désormais la deuxième place?
SIDNEY GOVOU : Non, nous allons d'abord essayer d'assurer la troisième place. Finir deuxième n'est pas une obsession, même si nous jetterons un coup d'&oeligil sur le résultat de Marseille. Même si je crois que l'OM a mentalement été touché par notre victoire au Vélodrome le week-end dernier, je sais que cette équipe voyage mieux qu'elle ne reçoit.
Eviter de disputer le tour préliminaire de la Ligue des Champions serait-il important?
S.G. : C'est toujours mieux car nous pouvons hériter d'une belle équipe lors du tour de qualification. Maintenant, au vue de la saison, finir troisième serait un moindre mal. Terminer deuxième serait un miracle : on comptait sept points de retard à trois journées de la fin!
Après deux victoires d'affilée, la confiance est-elle totalement revenue dans les rangs lyonnais?
S.G. : Oui, mentalement nous sommes beaucoup mieux actuellement. Attention toutefois à l'excès de confiance car nous avons connu beaucoup de difficultés cette saison à Gerland. Samedi, contre une équipe de Caen qui jouera son maintien, ce ne sera pas un match facile.
L'OL ne gagnera aucun trophée cette saison. Quel effet cela vous fait-il?
S.G. : Cela va certainement nous faire bizarre lorsque nous verrons nos successeurs soulever le trophée et faire les couvertures des journaux. Tant que le championnat n'est pas fini, nous ne ressentons pas encore grand-chose.
Ce match Lyon – Caen pourrait être votre dernier sous le maillot de l'OL à Gerland…
S.G. : Il me reste un an de contrat, j'ai déjà dit que je ne prolongerai pas. Cette décision est irrévocable. Mais je vais disputer cette rencontre en me disant que je serai encore présent la saison prochaine. Pour être franc, je n'ai pas songé que ce match pourrait être mon dernier à Gerland sous les couleurs de l'OL. Mais c'est une possibilité.
Partir sans adieux serait-il une déception?
S.G. : Non, je ne suis pas un grand sentimental.
Du coup, comment abordez-vous ce match?
S.G. : Simplement comme le match qui peut nous permettre d'assurer la troisième place. Maintenant, je ne vais pas mentir : j'ai envie de jouer, de débuter et j'aimerais bien marquer car je n'ai pas encore inscrit de but cette saison en championnat et cela ne m'est jamais arrivé de terminer une saison avec zéro but.
Qu'est ce qui pourrait vous faire partir cette saison contrairement aux années précédentes?
S.G. : Il ne me reste plus qu'un an de contrat, les choses sont beaucoup plus simples dans cette situation.
Si vous quittez l'OL, souhaitez-vous forcément rejoindre un championnat étranger? Ou pas nécessairement?
S.G. : Je l'ai déjà dit : pas nécessairement.
Juninho pourrait quitter l'OL au terme de cette saison. Que retiendrez-vous de lui?
S.G. : C'est le meilleur joueur lyonnais de tous les temps, même si ma culture footballistique ne me permet pas de parler de toutes les époques. À chaque coup-franc qu'il marque, on se demande comment il fait : j'imagine les gardiens adverses paniqués au moindre coup de pied arrêté… Dans le jeu, il a aussi cette capacité à débloquer des situations. Pour un milieu défensif, ce qu'il fait est vraiment grand.
Que vous a-t-il appris?
S.G. : Il m'a apporté des choses mentalement. "Juni", c'est quelqu'un pour qui les sentiments comptent beaucoup. Il m'a rendu plus humain. Il m'a notamment appris que l'on peut, de temps en temps, élever son niveau de jeu lorsque l'on est plus impliqué sentimentalement. Il m'a fait prendre conscience que mon discours comptait dans le vestiaire et m'a parfois incité à parler davantage.
Pensez-vous qu'il va partir?
S.G. : Franchement, je n'en ai aucune idée.

VIVA BARCELONAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ligue des Champions: Barcelone roi d'Europe pour la 3e fois




Le FC Barcelone, qui a tôt ouvert la marque avant d'imposer son
formidable jeu collectif, a remporté la Ligue des Champions, la
troisième de son histoire, aux dépens de Manchester United (2-0), le
tenant du titre, mercredi à Rome.L'équipe catalane, qui s'était
déjà imposée en 1992 et 2006 et qui rejoint ainsi son adversaire
malheureux au nombre de C1 remportées, clôt ainsi sa saison sur un
triplé phénoménal: Championnat, Coupe d'Espagne et Ligue des Champions!L'attaquant
Samuel Eto'o, qui peinait pourtant grandement à marquer au cours des
dernières semaines, a été le détonateur du succès du Barça en marquant
dès la 10e minute. Un bis repetita pour le Camerounais puisque c'est
lui, déjà, qui avait lancé les siens sur la voie du succès en ouvrant
le score en 2006.Andrès Iniesta, qui revenait pourtant tout
juste de blessure, et Lionel Messi, l'auteur du deuxième but, se sont
quant à eux chargés de semer la pagaille, multipliant accélérations
assassines et passes diaboliques, soit le meilleur moyen de démontrer,
s'il en était encore besoin, que leur équipe développe le plus beau jeu
du continent.Quant à l'entraîneur Josep Guardiola, sa première
saison sur un banc restera quoi qu'il arrive dans l'histoire. Et à 38
ans seulement, il rentre dans le cercle très fermé des joueurs ayant
gagné la C1 à la fois comme joueur et entraîneur, aux côtés de légendes
comme le Néerlandais Johan Cruyff - dont il est un "disciple"
revendiqué - ou l'Italien Giovanni Trapattoni. Manchester a pour
sa part échoué à conserver le plus prestigieux des trophées
continentaux, performance qui n'a plus été réalisée depuis l'AC Milan
en 1989-90. Il s'agit aussi de sa première défaite en finale de
l'épreuve.Le Portugais avait pourtant bien commencé avec trois
occasions dans au cours des neuf premières minutes (un coup franc
repoussé par Valdes et deux frappes de loin à côté), mais il n'a
ensuite plus jamais été en position favorable.Il faut dire aussi
que Barcelone a fait très mal à MU en marquant sur sa toute première
occasion, au terme d'une action modèle du "made in Barça": percée
d'Iniesta dans l'axe, décalage d'Eto'o à droite qui crochète Vidic
avant de marquer d'une frappe de près (10).Fort de cet avantage,
le Barça s'est ensuite appliqué à imposer son jeu de mouvement et
d'accélération, avec des passes et encore des passes. Quant à la
défense, pourtant passablement chamboulée (Abidal et Alves suspendus,
Marquez blessé), elle a parfaitement tenu le coup.Et en deuxième
période, après deux banderilles plantées par Henry (tir de près sur Van
der Sar, 47) puis Messi (coup franc repoussé par le poteau, 53), c'est
justement le génial argentin, libre de tout marquage, qui s'est chargé
d'enfoncer définitivement le clou, doublant la marque de la tête suite
à centre de Xavi (70), et affirmant ainsi son titre de meilleur buteur
de la compétition (9 buts en 12 matches).Un camouflet pour la
défense de MU, réputée la plus forte d'Europe, face au "petit" Messi
(1, 69 m) qui, lui, a certainement fait un pas de géant vers le Ballon
d'or 2009.

C'était en 2008 .

Une photo qui en dit long...

Ouaip effectivement, Boghossian a raconté l' histoire du fou qui repeint son plafond à Martini, qui apparemment ne la connaissait pas, Raymond les sourcils lui est furax parce-que estelle a une heure de retard pour son sms du soir!?
On sent un encadrement concerné (en 1 mot ou 2 mots, that's the question... )

Seul contre tous ?



DPPI

• Infos liées :
  
• Henry-Domenech, le clash ?
  
• Thierry Henry s'explique
  
• Où sont les buts ?
  
• Et si c'était les barrages...
  

Si Thierry Henry a tenté de calmer le jeu, Raymond Domenech
est toujours dans la tourmente avant de se rendre en Serbie, mercredi.
Accablé par les critiques, il pourrait même perdre son poste en cas de
défaite, voire de match nul, à Belgrade. L'atmosphère devient
étouffante chez les Bleus...S'il y a bien un point commun à
chaque match des Bleus, c'est bien celui-là. Depuis des mois, Raymond
Domenech concentre sur lui toutes les critiques et les rancoeurs. Alors
que l'équipe de France vient de réaliser un de ses meilleurs matches
depuis des lustres face à la Roumanie, malheureusement soldé par un
résultat nul (1-1) qui la destine sans doute à disputer les barrages,
son sélectionneur est une nouvelle fois au coeur de la tourmente.
Lundi, Le Parisien affirmait ainsi que Thierry Henry l'avait
personnellement pris à partie à la veille de France-Roumanie (1-1),
devant tout le groupe et l'encadrement : "On ne sait pas comment
jouer, où se situer, comment s'organiser. On ne sait pas quoi faire. On
n'a aucun style, aucune idée directrice, aucune identité".Pour éteindre l'incendie, le capitaine des Bleus est venu en mission commandée sur le plateau de TF1. "Vendredi soir, il ne s'est rien passé, a expliqué Henry. Il
y a eu une discussion comme il peut y en avoir souvent entre le groupe
et un entraîneur. C'était une discussion plutôt constructive (...) qui
doit rester entre le coach et le groupe. Je n'ai pas remis en cause les
qualités du coach. Il n'y a pas eu, comme on me l'a fait dire, de clash". De son côté, Raymond Domenech a voulu faire savoir sur le site internet de la FFF que "l'ambiance est super" au sein du groupe. "Avec ce qu'on vit, les débats, les discussions, les à côté de la vie du footballeur, ça met une ambiance exceptionnelle" , a-t-il affirmé.Henry : "Il n'y a pas eu de clash"Qu'il
soit vérité, mensonge ou exagération, cet incident est en tout cas venu
relancer le débat sur le sélectionneur. Car les soutiens à ce dernier
s'amenuisent à vue d'oeil. Après le public, qui accompagne désormais
chacune de ses apparitions d'une bordée de sifflets, ce sont les
joueurs qui semblent lâcher le patron des Bleus. Même si elle a été
déformée, il y a bien eu explication vendredi à Clairefontaine. Outre
Thierry Henry, Nicolas Anelka et William Gallas
auraient également pris la parole. Domenech se serait même réjoui de
cette réaction. A l'extérieur, la génération de 98 se déchaîne, à
l'instar d'Emmanuel Petit ou Robert Pires. Lundi, Christophe Dugarry a
ainsi estimé que "Domenech fait tout pour se protéger lui-même à travers des déclarations incompréhensibles".Finalement,
Raymond Domenech semble bénéficier d'un seul soutien indéfectible :
celui de Jean-Pierre Escalettes. Le président de la FFF, lui aussi
entraîné dans la tourmente, ne cesse de répéter que le sélectionneur "n'est pas menacé". "Le conseil fédéral a pris une décision qui n'a pas été admise par tout le monde mais il l'assume et l'assumera jusqu'au bout, a-t-il encore affirmé lundi soir sur Direct 8 en référence au maintien en poste de Domenech après l'échec de l'Euro 2008. On
n'a pas dit à Domenech par quelle porte il devait passer. S'il faut
passer par la petite porte, on passera par la petite porte. Mais on
passera" . Sous-entendu : l'objectif reste la qualification. Et
seulement la qualification. "Quel que soit le scénario en Serbie",
précise-t-il.Terminus après la Serbie ?Pourtant,
selon L'Equipe, Raymond Domenech jouerait gros à Belgrade. L'ancien
patron des Espoirs pourrait ainsi être démis de ses fonctions en cas de
défaite, ou même de match nul, en Serbie. Au conseil fédéral, certains
membres souhaiteraient en effet son départ et pousseraient ardemment
dans ce sens. "Ce déplacement n'est finalement pas décisif.
Gagner, faire match nul ou perdre ne modifie pas radicalement la suite
de la compétition", affirmait pourtant Domenech, lundi. Une façon
d'ignorer la pression ? Pour ses détracteurs, rien n'a changé en un an
et il faut désormais des résultats. Seul le contenu du match face à la
Roumanie a jeté le trouble.Toujours est-il que les noms sur son
éventuel successeur ne vont pas tarder à fleurir. On parle déjà d'un
ticket Houllier-Boghossian qui serait chargé de qualifier les Bleus
pour le Mondial 2010 avant de passer la main pour la phase finale. "C'est bidon",
assure le DTN. Selon L'Equipe, si aucune décision n'était toutefois
prise avant la réception des Féroé alors Raymond Domenech resterait en
place jusqu'à l'éventuel barrage prévu les 14 et 18 novembre. Reste
que, la veille d'un déplacement périlleux en Serbie, l'atmosphère est
décidemment devenue irrespirable autour de Raymond Domenech et de
l'équipe de France... Après tout, les Bleus sont toujours
mathématiquement en course.Eurosport - A.P.

Perso, Domenech ne me déplait pas comme selectionneur. Il a qualifié la France pour deux compets CM 06 et CE 08. Et déjà avec du monde contre lui.
Il est finaliste de la Coupe du Monde 06 (peut-être vainqueur s'il n'y a pas le coup de boule).

En France, on se fait un malin plaisir à détruire les selectionneurs des equipes de France (foot et rugby).

Il faudrait remonter jusqu'ou pour trouver un selectionneur de l'equipe de France de Foot ayant eu l'approbation des journaleux (toujours plus forts que les techniciens, mais qui n'ont jamais passé un diplôme pour prendre en charge des pros). Peut-être Platini (88-92)?
Sinon, à en croire les raleurs, on a eu que des brêles: jacqus Santini, Roger Lemerre, Gerard Houiller, sans oublier le plus mauvais de tous Aimé Jacquet. Enfin, mauvais avant de gagner la CM de 98. Depuis, on ne trouve plus personne osant avoué qu'il aurait bien jeté Jacquet au bucher à une certaine epoque.

Les anciens footeux ou acuels entraineurs feraient bien de mesurer leurs propos concernant Domenech, car s'il qualifie l'Equipe de France, là Zidane n'y sera pour rien.

Supporter des equipes de France, je supportes ausi son selectionneur. S'il ne fait pas son boulot, il le perdra. Et il sera toujours temps d'en dire du mal.

Une victoire en Serbie sera un grand pas pour l'Afrique du Sud et les barrages servent aussi à se qualifier.

Si on se qualifie pour l' afrique du sud pour être éliminé dès le premier tour c' est pas trop la peine...les bleus n' arriveront à rien avec un incompétent pareil!
Ce type n' a jamais rien gagné en tant qu' entraineur, que ce soit avec l' OL, les espoirs ..etc
Jamais on n'a vu une équipe de france aussi triste et qui ne fait plus peur à personne

DOMENECH , DEGAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGEEEEEEE !!!!!!!!!!!!

Killsark a écrit:

Si on se qualifie pour l' afrique du sud pour être éliminé dès le premier tour c' est pas trop la peine...les bleus n' arriveront à rien avec un incompétent pareil!
Ce type n' a jamais rien gagné en tant qu' entraineur, que ce soit avec l' OL, les espoirs ..etc
Jamais on n'a vu une équipe de france aussi triste et qui ne fait plus peur à personne

Il a fait remonter l'OL de D2 en D1 pour sa 1ere saison à la tête de l'equipe. Il a qualifié l'OL pour une coupe d'Europe, ce que le club n'avait plus connu depuis....

Chez les espoirs, il a été vice-champion d'europe 2002 et deux fois demi-finalistes avec des rencontres bizarrement arbités contre l'Italie de papa Maldini et contre des portugais ou Cisse se fait expulser pour une faute. Alors que les Lusithaniens en faisaient des caisses. Des seringues avaient été retrouvés dans leur vestiaire saccagé, à l'issue de la rencontre.
Il a gagné deux Tournois de Toulon et un Tournoi à casablanca. Seul Marc Bourrier a fait mieux avec la generation 88 puisqu'ils ont été champion d'Europe.
Chez les A, il a qualifié l'equipe de France pour deux compets successives (CM06 et CE08).
Il est finaliste de la CM (qui a fait mieux à part Jacquet?).

Parler d'incompetence à son niveau, c'est ne pas trouver de remplaçant à son départ. Car qui sera competent? Ceux de sa generation n'ont pas beaucoup plus de palmares. Et les nouveaux n'ont pas prouvé grand chose. Les seuls de 98 a avoir prouver quelque chose sur un banc sont Deschamps et Blanc.

Lemerre était incompetent en France, cela ne l'a pas empecher de mener la Tunisie à la victoire de la Coupe d'Afraique des Nations (une premiere pour ce pays), puis à la qualifier pour la CM06;

Le Guen a la tête de l'OL, c'était le meilleur du monde. Arrivé à la tête du PSG, c'est un bon à rien qui n'y connais que dalle au foot.

Tous les passionnés de foot, on un avis de "competent" à donner. Et nous avons rejoint les Pays comme l'Angleterre, l'Italie, l'Espagne, etc... qui ne respectent plus les Hommes quand leurs equipes ne gagnent pas.

C'est pas grave, la victoire de Jacquet a demontré que les beaucoup retournés leurs vestes suivant l'orientation du vent.

C' est bien ce que je disais, le palmarès du Raymond = 0

On l' a vu au mondial 2006, ce sont les joueurs (Zidane, Thuram et Vieira en particulier) qui ont pris les choses en main et qui ont défini la tactique de l' équipe pour arriver en finale.

Qui a fait mieux que lui(c' est pas compliqué)?
Michel Hidalgo à l' Euro 84 et Roger Lemerre à l' Euro 2000

Aimé Jacquet (et dieu sait si il a été critiqué), avait un plan, un style de jeu (le fameux 4-3-2-1), mais il était tout à fait capable de changer de système , sans pour autant être incohérent; et pour l' avoir connu lorsqu' il dirigeait les Girondins (3 titres de champions, 2 coupes de france et 2 demi finales de coupe d' europe, pas mal non?), c' est un meneur d' homme au sens tactique acéré.
Point de tout celà chez ce pauvre Domenech, cet abruti prétentieux est incapable de définir quelle est son approche tactique d' un match, jamais d' analyse technique, des mauvais choix chroniques, ajoutez à celà qu' il est la risée des supporters étrangers, je crois que la coupe est pleine.

En 2006, c'est Thuram , Vieira et Zidane qui ont tout fait. Ben, ils auraient du en faire autant en 2002.
Aimé Jacquet avait un style de jeux ??? C'est ce que l'on dit maintenant. Mais il était très critiqué sur son manque d'ambition dans le jeu d'attaque, préférant un bloc defensif.

Etant supporter des Girondins de Bordeaux depuis 80, j'étais attristé par les commentaires desobligeants de tous bords et des journaleux. Qui eux avaient oubliés ce qu'Aimé Jacquet avait réussi à Bordeaux. En plus des resultats nationnaux, il faut rajouter une demi-finale en Coupe des Champions contre la Juventus de Turin, avec un match retour epique.

Pour un abruti, je trouve qu'il l'est moins que tous ceux qui ont essayé de le deboulonner et qui n'y sont toujours pas arrivés.

Quand au palmares, ça va être dur de le remplacer par un mec qui a un palmares. Santini avait un meilleur palmares (champion de France avec l'OL), mais il s'est fait lyncher et traité d'incompetent.

Je n'étais pas remonté jusqu'à Hidalgo. Je pensais depuis Jacquet car c'est là qu'il y a eu un tournant dans les medias. Auparavant, les medias se contentaient de donner une information, depuis ils donnent leurs avis. Est-ce du journalisme.
Et nous avons vu arrivé tous ces anciens joueurs qui n'ont jamais été aussi bons que depuis qu'ils sont assis pour critiquer ceux qui jouent. Comment, j'ai cité Dugarry??? Non, je ne crois pas.
Quand à Larqué qui croit detenir la verité, qu'a-t-il rendu au foot? Sa carrière d'entraineur au PSG ou son passage eclair à St Etienne prouve qu'il n'est pas si facile d'être aux commandes d'une equipe pro. Alors d'une selection.....

Bon, je vais m'arreter là.Ca commence à faire long.
Le sport, c'est bien. Ca fait echanger.

Tout à fait, tant que celà reste constructif

ALLEZ BORDEAUX!!!