Le Foot

Belle victoire de l'équipe de France 2-1 à Parme face à l'Italie.

Ce n' était pas une grande squadra hier mais très bonne performance des bleus.

C'est bien belle victoire sur les macaronis

Ce sont les Bleus de samedi qui ont du motiver ceux de mercredi.

Saint-André a du leur dire que s'ils perdaient contre les mangeurs de pastas, ils devraient filer dans les douches des siens après la victoires contre les Pumas degriffés.

PSG 1 RENNES 2
les Parisiens incapables de battre des Rennais réduits à 9, la vie sans Zlatan c' est pas de la tarte

Coupe de France (32es de finale) Le Lyon est mort ce soir
Historique. Le SA Spinalien a réalisé, hier, l’exploit que tout le département des Vosges attendait. Celui d’éliminer une formation de l’élite. Le tenant du titre, Lyon, est tombé. De la folie.

Un soir de juillet 1998, Thierry Roland avait déclaré : « Après ça, on peut mourir tranquille . » On n’ira pas jusque-là, on tient à la vie, mais, hier, dans une Colombière pleine comme un œuf, on a vécu un moment inoubliable. Un tremblement de terre de forte magnitude a secoué le paysage du football vosgien. Cet exploit avec un grand E, les joueurs du SA Spinalien l’ont accompli. « Je n’en reviens pas. Je ne sais pas si je suis en plein rêve ou dans la réalité . » Comme les quelque 7 000 personnes, Yves Bailly, le président de la société à actions sportives du club était sur un nuage.

La folie s’est emparée d’une enceinte d’abord venue pour voir le Roi Lyon. Le premier quart d’heure achevé, la foule n’avait alors plus d’yeux que pour ces irréductibles joueurs de National qui avaient, en l’espace de trois minutes, fait résonner deux coups de canons dans le ciel gris. Deux coups de tête de Tristan Boubaya venaient de faire vaciller l’Olympique lyonnais (11e et 14e ). « On n’avait pas établi de stratégie particulière sur les corners que nous avons tirés comme d’habitude », expliquait Philippe André, l’entraîneur-adjoint. Il fallait se pincer pour y croire.

Mais la réalité rappelait rapidement un onze vosgien euphorique. Trop. « Après le premier but, j’ai laissé faire mais sur le deuxième j’ai rappelé tout le monde à l’ordre », lâchait Fabien Tissot. La liesse des joueurs était communicative et tous, remplaçants compris, se laissaient griser par ce premier but. Sur le deuxième aussi. La concentration en pâtissait et Gomis refroidissait les ardeurs locales (15e ). Le calme gagnait alors tribunes et gradins et quand Fofana remettait les pendules à l’heure six minutes plus tard, l’incrédulité laissait place à la normalité.
Débauche d’énergie

L’Olympique lyonnais allait alors manger tout cru sa proie spinalienne. « C’est quelque chose d’inimaginable », résumait Philippe André. Car Épinal tenait le choc face au tenant du trophée. « Atteindre la mi-temps, ça les avantageait, ça leur a fait du bien et cela leur a donné de la force », déclarait Bafétimbi Gomis, beau perdant.

À mi-parcours, donc, tout le monde pouvait continuer de croire à ce miracle, à cette surprise qui couvait. « Si c’est pour défendre, ce n’est pas la peine , résumait Fabien Tissot. Dès la récupération, il fallait contourner le pressing adverse et aller les percuter dans leur dos. On était bien en place et les joueurs ont fait des efforts monstrueux. Cela ne nous a pas empêchés de porter le danger. »

La recette avait fonctionné jusqu’alors. Pour autant, l’assistance restait circonspecte. Elle rentrait dans un silence quand, à l’heure de jeu, Lyon obtenait un penalty, pour une faute de main de Crillon, que transformait Lisandro Lopez (62e ). Cette fois, c’était certain, les Vosgiens ne s’en remettraient pas. Tout faux. « Ils sont allés chercher des ressources insoupçonnables », appréciait encore l’entraîneur-adjoint. L’exemple de cette débauche d’énergie supplémentaire était donné par Valentin Focki. Profitant d’une déviation de Chouleur (trois passes décisives hier), le feu follet inépuisable grillait la politesse à Dabo, avant de tromper Vercourtre (77e ). « Depuis le banc de touche, on a senti le souffle du public, c’était impressionnant », soulignait Philippe André.
Tissot : « C’est terrible comme sensation »

Sacré tour de force en effet pour des Vosgiens qui, s’ils avaient baissé de pied physiquement, étaient portés par un public désormais en transe. D’abord une « ola » puis des « Allez les jaunes » ou encore les « Épinal, Épinal » jaillissaient alors à gorges déployées. Tous poussaient. Les Lyonnais d’abord. Les spectateurs aussi, chacun avec un objectif.

Alors quand les Vosgiens emmenaient leurs illustres hôtes en prolongation puis aux tirs au but, la scène était indescriptible. « On voulait attendre dans notre camp mais pas trop bas et trouver les espaces libres sur les côtés ou autour de Gonalons », expliquait Philippe André. Un plan qui a été respecté, même en pleine tourmente. Tous chaviraient alors quand Famara Diedhiou validait le ticket pour les seizièmes de finale. Le Sénégalais parachevait le travail de tout un groupe, qui avait eu la peau d’un Lyon qui, depuis la création du National, s’était déjà frotté à huit reprises à des formations de ce niveau sans avoir connu l’élimination. « Énorme, énorme, énorme, et c’est mérité », congratulait Fabien Tissot dans un vestiaire tout autant en ébullition que le stade tout entier. Hier soir, le peuple vosgien était fier d’avoir suivi le plus retentissant exploit en Coupe de France d’une de leurs équipes. « C’est une fierté , jubilait Fabien Tissot. Lyon est une des équipes les plus fortes dans le jeu. C’est terrible comme sensation . » Mieux, c’est renversant.
F. V.

Le Républicain Lorrain, 7/1/13

Le gardien refuse d'arrêter le penalty.

David Beckham signe au PSG et renonce à son salaire

Après une première tentative ratée il y a un an, les dirigeants du PSG ont cette fois-ci réussi à convaincre David Beckham de rejoindre le club. L'Anglais de 37 ans a signé au moins pour cinq mois ; il affirme que son salaire sera reversé à une association caritative en faveur des enfants.


David Beckham lors de sa présentation officielle au Parc des Princes Reuters - Gonzalo Fuentes
C'est ce qu'on appelle finir son mercato en beauté. David Beckham est officiellement un nouveau joueur du Paris Saint-Germain ; son transfert a été enregistré à quelques heures seulement de la fin du marché hivernal des transferts, jeudi soir à minuit. L'Anglais, qui portera le numéro 32, a été présenté sous les flashes des nombreux photographes convoqués au Parc des Princes.

David Beckham : une star présentée sous les crépitements des flashes (00:00:38)




Annoncé un peu partout ces dernières semaines, notamment à Tottenham en Angleterre, ou l'AS Monaco (en Ligue 2) en France, le milieu de terrain international anglais avait déjà été à deux doigts de rejoindre le club de la capitale l'an passé, mais l'affaire avait capoté au dernier moment. Mais cette fois-ci, c'est la bonne.

Le PSG, pas un choix financier

En fin de contrat avec les Los Angeles Galaxy qu'il avait rejoints en 2007, le "Spice Boy" a été convaincu par les dirigeants de l'actuel leader du championnat de France, qui ont enregistré les départs de Mohamed Sissoko (Fiorentina) et Adrien Rabiot (Toulouse) au milieu de terrain. "J'ai choisi Paris car je vois ce que le club veut faire", a déclaré David Beckham, qui ne se voyait pas jouer ailleurs qu'à Manchester United en Angleterre. Pour lui, "le club va avoir du succès pendant 5, 10, 15, 20 ans". Le fait que le PSG dispute les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, en février prochain face au Valence CF, est un "bonus", mais n'a pas dicté son choix.

"J'ai vraiment beaucoup de chance" affirme David Beckham (00:01:00)




Tout a été "calé" entre les différentes parties concernées, tous les scénarii ont été anticipés (l'éventuelle taxe à 75% pour les très hauts revenus par exemple). Mais, apparemment, l'argent n'est pas au centre de son choix en faveur de Paris, puisque David Beckham affirme que son salaire sera reversé à une association caritative à Paris en faveur des enfants, qui n'a pas encore été choisie.

La famille était d'accord

Après avoir obtenu toutes les garanties nécessaires, sa femme Victoria, "Posh Spice", a aussi donné son feu vert. Elle devrait rester à Londres avec ses quatre enfants scolarisés dans la capitale anglaise, tandis que David Beckham devrait loger à l'hôtel. Le contrat, lui, court jusqu'en juin prochain, au moins. Les deux parties "n'ont pas encore discuté d'un partenariat à long terme" selon l'Anglais.

Pour l'ancien gardien des Bleus, Fabien Barthez, qui a passé trois ans avec lui à Manchester United, c'est une bonne nouvelle.

Beckham ? "Un super mec" selon Fabien Barthez, ancien gardien des Bleus et coéquipier à Manchester United (00:00:44)




Un bonus pour la Ligue 1

La concurrence était des plus rudes, mais les Parisiens n'ont pas lâché. L'affaire s'est conclue dans la journée de jeudi. L'ancien joueur de Manchester United (avec qui il a remporté la Ligue des Champions en 2009), du Real Madrid et du Milan AC l'a dit, il ne "s'attend pas à être titulaire dès le début", mais il pense pouvoir encore apporter à l'équipe, et pourquoi pas "conseiller les jeunes joueurs du championnat", une Ligue 1 qu'il juge comme un "championnat serré".

Son arrivée ravit en tout cas le sélectionneur des Bleus, Didier Deschamps qui s'est exprimé en marge de la présentation de la liste des 23 joueurs appelés pour disputer le match amical face à l'Allemagne le 6 février prochain.

"Une très bonne chose pour la Ligue 1" : Didier Deschamps, sélectionneur de l'équipe de France de football (00:00:54)

Le PSG entre (encore) dans une nouvelle dimension

Le PSG a donc frappé un nouveau gros coup sur le marché des transferts. Un très gros coup même en termes de marketing, car la marque Beckham est mondiale. Malgré tout, on peut évidemment s'interroger sur l'état de forme de l'Anglais, âgé de 37 ans et qui évoluait depuis cinq saisons dans un championnat, la Major League Soccer américaine d'un niveau assez faible. David Beckham, malgré son âge, s'estime "en forme".

Sa conférence de présentation a en tout cas déjà fait le tour du monde.


http://www.franceinfo.fr/football/david-beckham-arrive-878217-2013-01-31

Comme le disait Chirac, ça m' en touche une sans réveiller l' autre

J'aime la Fourme moi mais avec du pain noir, moi la Fourme je l'aime presque qu'autant qu'un bon Zanby blanc !!

Quel but d'Umtiti !!!!!!!!!!!!!!!

Et puis Bale qui en rajoute une couche pour Tottenham.

J"ai mis deux tirs au but cette nuit !!

Phil a écrit:

Et puis Bale qui en rajoute une couche pour Tottenham.

Le but marqué à white hart lane peut compter si les gones assurent le match retour, BORDEAUX a ramené un bon nul 1-1 de KIEV

On a connu des resultats plus decevants devant les anglais. Lyon peut passer.

Les Girondins aussi, d'ailleurs. Même si Bellion ne parait pas en mesure de remplacer Gouffran et sa forme actuelle. Ni Jussié en tant que buteur. Mais bon, esperons.

Les mythes ont la peau dure. Même rongés par les années, et remisés au fin fond d’une réserve. C’est dans les entrailles d’Hampden Park, le superbe stade de l’équipe nationale d’Ecosse, qu’on a retrouvé les poteaux carrés.



Oui, ceux qui font encore cauchemarder Dominique Bathenay et Jacques Santini, 36 ans après la fameuse finale 1976 de la coupe des clubs champions de Glasgow qui avait vue ces maudits bouts de bois briser net l’épopée verte (défaite 1-0 face au Bayern Munich).

Partis initialement pour visiter le vénérable Scottish Football Museum et jeter, quand même, un œil à l’enceinte qui marqua douloureusement la fin de la folle aventure de la bande à Larqué, on est finalement tombé nez à nez avec les précieuses reliques.

Comment ? Il faut croire qu’être Stéphanois ouvre toutes les portes dans ce haut lieu de mémoire. A l’annonce de la provenance de la troupe des six touristes, le préposé à l’accueil du musée lâche un « Ah Saint-Etienne ! » qui vaut tous les sésames. « Voulez-vous voir les poteaux carrés ? ».
Passée l’incrédulité de l’offrande, nous voilà saisi par l’impression de vivre un moment rare. Le gardien nous invite à le suivre dans les couloirs du stade, en pleine effervescence en cette veille de la finale de la Cup écossaise. Il nous emmène au cœur d’un improbable bric à brac, mélange de vieilles reliques, d’ordinateurs hors d’âge et de ballons crevés.

Calées sur des parpaings, cachées dans un coin de la grande pièce, les barres sont là, mais bien mal en point : en partie en morceaux, la peinture écaillée, la ferraille rouillée et encore accrochées à leurs filets… Pour la petite histoire, ce n’est qu’en 1987 que les Ecossais les ont remplacées par des montants cylindriques. Depuis, après avoir été rachetées un temps par le propriétaire d’un pub (1), elles attendent on ne sait quoi dans leur dernière demeure.

Il paraît que leur état souffreteux empêcherait de les exposer. Un lifting ? Trop cher pour les Britanniques qui, de toute façon, n’ont jamais fait de choux gras avec cette légende bien française. Mais ces fameux poteaux ne seraient-ils pas une pièce de choix pour le futur musée des Verts qui verra le jour conjointement à un Geoffroy-Guichard rénové ? On invite le conservateur à traverser la Manche. Il y sera forcément bien accueilli. Et qui sait, avec quelques pounds en poche, il reviendra avec le précieux trésor dans ses bagages.

Info publiée le 26/5/12

Monaco va remonter !!

Il vaudrait mieux avec 5 points d' avance et si ils restent "sérieux" ça commence à sentir bon oui

«Ce matin (mardi matin), Maradona nous a dit qu'il était d'accord pour discuter avec Montpellier d'une éventuelle proposition à la durée et l'envie du club, a assuré Youssef Haijoub, directeur de l'agence de marketing sportif et d'organisation d'événements SGM Agency, qui serait en contact direct avec celui qui fut le Pibe de Oro. Nous allons indiquer au club par fax dans l'après-midi qu'il est OK pour entamer des négociations. Comme le PSG a Beckham, pourquoi Montpellier n'aurait-il pas un entraîneur avec un tel calibre et une telle image ?»

Sélectionneur de l'Argentine entre 2008 et 2010, l'ancien numéro 10 a depuis entraîné Al Wasl à Dubaï (2011-2012) et se verrait bien reprendre une équipe en Europe. Il a notamment évoqué le Barça de Messi dans ses projets. Après avoir dirigé Montpellier ? La folle rumeur est en tout cas relancée...

On parle aussi de Pelé sur le banc d' EVIAN THONON-GAILLARD

La France confirme son redressement au classement de l'indice UEFA, publié ce lundi. Grâce au parcours européen du Paris Saint-Germain, qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions face au FC Barcelone, et dans une moindre mesure celui de Bordeaux, qui est allé jusqu'en huitième de finale de la Ligue Europa, sorti par Benfica (0-1 ; 2-3), la France conforte sa cinquième place devant le Portugal - après lui avoir cédé la saison passée - sur la période 2008-2013, période de référence l'été prochain pour accorder les places européennes.

Si la France maintient son rang, cela permettrait au troisième du championnat de la saison 2013-2014 d'être automatiquement qualifié pour les barrages de la C1 de l'exercice 2014-2015. Pour rappel, l'équipe qui terminera 3e de L1 à la fin de la saison actuelle disputera en revanche le troisième tour préliminaire.

PSG-Barca : 2-2

Résultat encourageant mais pour la qualification en demi-finales faudra aller à Lourdes avant de se déplacer au Camp Nou mais les blessures de Messi et de Mascherano côté catalan risquent peser dans la balance.