MOTÖRHEAD

Pour ceux qui ne l'auraient pas vu :

Devant le public bobo des Vieilles Charrues en 2008.....

Étonnant ce montage sur ces quatre artistes disparus sur, pratiquement, la même période.

Un peu de musique zen pour la soirée.

Rien ne vaut la musique de chambre

Le mec qui a tout compris...........

https://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=1431

Un connaisseur encore un coup de Manoeuvre

Phil a écrit:

Du lourd chez MOTÖRHEAD, avec la sortie d'un gros coffret pour les fêter les 40 ans de Bomber et Overkill .
Avec deux concerts live inédits de 1979 dont un enregistré à La Rotonde du Mans le 03 Nov 1979.



Source : Rockerparis

Bon, JB de chez Gibert va me mettre ça de côté. Vivement le 25 octobre !!!!!!!!!!!!!!

Tu te fais Noël avant l'heure.

Et encore un cadeau pour Noel

RJDio a écrit:

Tu te fais Noël avant l'heure.

En quelque sorte.

'U r not getting backstage if u listen to KEITH RICHARDS's solo career or any of that U2 Shit'! - Lemmy

Pas gentil, le Lemmy !!!!!!!!  

Il n' a jamais porté Keith Richards dans on coeur, mais pour la phrase, peut-on vraiment lui donner tort??

Non...

Je croyais qu'il voulait offrir un verre au snifeur de cendres parentales, moi.

Faites-moi profiter de vos connaissances en anglais que je rigole avec la frisounette.

Avec Doro
https://youtu.be/Y_Tp1gQRHJE

Mickey Dee
https://youtu.be/S2x0z_aXRf8

https://youtu.be/Wh3t49NsWBA

Anniversaire | 1979, année métallique

[Vidéos] Sous les bombes avec Motörhead
En 1979, Motörhead délivrait coup sur coup « Overkill » et « Bomber », deux albums que l’on réédite avec éclat en CD ou en vinyle. Quarante ans plus tard, l’onde de choc laissée par ce double manifeste rock dévastateur reste intacte.

La France roupille lorsque s’étirent les années 70. En proie à « ce mortel ennui » que chantait Gainsbourg bien avant sa conversion au reggae. Pourtant, musicalement, nombreux sont ceux qui s’appliquent à ruer dans les brancards. Motörhead fait partie du lot.

Mulhouse en tremble encore. Le 1er mars de l’an 80, Ian Lemmy Kilmister, Fast Eddie Clarke et Philthy Animal Taylor montent sur la scène du Palais des Fêtes. La secousse est énorme. La double grosse caisse qui ouvre le feu fait reculer les premiers rangs. On a rarement joué si fort, si vite…


Ultimes retranchements

Immense gaillard armé d’une basse Rickenbacker, Lemmy crache et éructe déjà avec cet accent d’asthmatique rebelle. On le savait amateur de gros son depuis son passage chez les artificiers space-rock d’Hawkwind. Mais à présent, Lemmy entre dans la 4e dimension. Ses comparses ne sont pas en reste. Fast Eddie délivre des solos brefs. On se moque alors de savoir s’il est plus technique que Ritchie Blackmore ou meilleur « riffeur » que Keith Richards. Clarke met tout le monde d’accord lorsqu’il libère ses accords comme s’il faisait claquer un fouet. Quant au batteur fou Phil Taylor, il ne cesse de pousser le trio dans d’ultimes retranchements. Avec Motörhead, le rock vient de franchir un cap. On n’avait plus ressenti pareille sauvagerie depuis les Stooges d’Iggy Pop.

Ni punk, ni metal ou les deux à la fois, le gang britannique sévit depuis 1975. Le premier album éponyme du groupe donnait le ton dès 1977. Le précédent, « On Parole » , n’était même pas sorti.

Lemmy et ses gars ne vont donc pas chômer en 1979 lorsque s’ensuivent deux de leurs meilleurs opus : « Overkill » est dans les bacs en mars et « Bomber » le talonne en octobre. À peine le temps de digérer « Stay Clean » et « No Class » , qu’il faut encaisser « Stone Dead Forever ». Même les titres « lents » sentent le soufre et l’état d’urgence…


Invasion barbare

Quarante ans plus tard, les rééditions agrémentées de bonus, de photos égarées et autres surprises à retardement confortent l’impression initiale. Motörhead était une machine de guerre et le « Bomber tour » qui fait alors étape à Mulhouse avait des allures d’invasion barbare. Les formats double CD ou triple vinyle de chacun de ces brûlots superbement réemballés se voient gratifiés de deux concerts inédits captés à Aylesbury puis au Mans. Le son est d’époque, brut de décoffrage. Mais la violence du propos donne une idée de ce qui s’est passé dans le Palais des Fêtes mulhousien l’année d’après, lorsque le bombardement Motörhead viendrait s’abattre sur la rue des Trois Rois.

2019 : Lemmy, Phil et Eddie sont tous partis mais leur musique leur survit. Et l’effet qu’elle produit n’a rien perdu de la brutale intensité de 1979.

Avec des vidéos dans le lien.
https://www.lalsace.fr/culture-loisirs/2019/11/25/sous-les-bombes-avec-motorhead

Quand une légende rencontre une autre légende.



Lemmy and Chuck

Pris ça :

https://www.lemonde.fr/musiques/video/2015/12/29/lemmy-de-motorhead-40-ans-de-carriere-en-3-minutes_4839210_1654986.html