Le Foot

L'OM si fier d'avoir éliminé le PSG en Coupe de France au tour précédent et qui se prend les pieds dans le tapis devant le 10eme de Ligue 2, Annecy. L'Actualité - Page 42 150574

Le FC Nantes qui montre que la Coupe les intéresse toujours, le TFC qui déroule devant Rodez et l'OL vainqueurs de Grenoble mais perd les deux buteurs du match sur blessures.

Annecy représentera la ligue 2 lors des demi-finales.

Bravo au TFC vainqueur de la Coupe de France 5-1 face au FC Nantes !!!!!!!!!!!

Le Téfécé a été impérial!
Et les canaris ont été en dessous de tout.

La loi des séries continue pour le FC Nantes :

Il y a un an jour pour jour le FC Nantes remportait la quatrième Coupe de France de son histoire. Ce 7 mai 2023, après sa défaite 0/2 contre Strasbourg, les Canaris sont relégables en Ligue 2. Les supporters, ceux qu’on surnomme le 12ème homme, sont en colère. Et ils le font savoir sur les réseaux sociaux .

https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/battu-a-domicile-par-strasbourg-le-fc-nantes-sombre-vers-la-ligue-2-2768550.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3N9rG-hdUso6IS5FP2pUFFR1T2uEoiLjkJAZZI1dqFQedeUKrEd8W6bKA#Echobox=1683529296

Pourquoi Christian Lopez, dans la forme de sa vie, n'a-t-il eu que des bouts de matchs lors de la Coupe du Monde 1982? Pourquoi lui, le libéro expérimenté, rentre-t-il comme milieu de terrain pour remplacer Battiston à l'heure de jeu, à Séville, contre la RFA? Comment appréhendait-il sa position (7e) dans la liste des volontaires pour la séance de tirs au but contre la RFA?
Dans cette 2e partie passionnante, Lopez répond avec franchise - et pour la première fois - à toutes ces questions. Il revient aussi sur la finale de Coupe de Clubs Champions a Glasgow contre le Bayern, sur les années formatrices de Laurent Blanc qu'il a couvé a Montpellier, sur son grand moment de solitude en finale de Coupe de France 1982 contre le PSG, sur la mode vestimentaire des années 1970 et bien sûr, sur Platini le tacticien et quasi-adjoint d'Hidalgo, son co-équipier chez les Verts et chez Bleus.
Un episode immanquable, disponible sur toutes vos plateformes de podcast préférées - https://www.podpage.com/.../le-podcast-des-legendes-ep.../
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Kombouaré viré et remplacé par le duo Pierre Aristouy (coach des U19) et Oswaldo Vizcarrondo (coach des Féminines) en tant qu’adjoint.

COMPTE-RENDU. 17/05/2023. Alberto Navarro. Photographe: Pedro Castillo et Antonio Villalba
Le Real Madrid s'est incliné sur la pelouse de Manchester City lors de la demi-finale retour.
Battu par Manchester City à l'Etihad Stadium en demi-finales, le Real Madrid est désormais éliminé de la Ligue des Champions. Pour s’y employer, l’équipe anglaise domine les débats dès le coup d'envoi et enchaîne deux occasions avec, à chaque fois, Haaland et Courtois en hommes forts. Sur la première, Grealish centre pour la tête du Norvégien qui, dans les six mètres, voit notre portier repousser sa tentative d'un magnifique réflexe (13'). Sur la seconde, Akanji prolonge au second poteau un corner pour trouver encore une fois Haaland, qui se heurte à nouveau à un très inspiré Courtois (21').

Le dernier rempart madridista brille de mille feux, mais il ne peut rien faire face à Bernardo Silva qui, au terme d'une longue action collective, ouvre le score (23'). Les hommes d'Ancelotti réagissent par l'intermédiaire de Kroos, dont la lourde frappe vient fracasser la barre transversale adverse (35'). Dans la foulée, City ne se fait pas prier et double la mise, Bernardo Silva marquant de la tête suite à une frappe de Gündoğan repoussée par Courtois (37'). Mené 2-0 à la pause, le champion d'Europe tente bien de réduire l'écart à la reprise, mais le coup-franc d'Alaba est renvoyé en corner par Ederson (50').

Les minutes s'écoulent et Courtois doit une nouvelle fois s'interposer face à Haaland, le Belge détournant la tentative du Norvégien d'une parade qui ricoche sur la barre (73'). Mais la malchance ne quitte pas notre équipe, qui s'incline une troisième fois sur un coup-franc lointain de De Bruyne détourné par Militão dans ses propres filets (76'). Nos protégés pensent marquer sur un tir de Ceballos que repousse in extremis Ederson (83'), mais ils doivent finalement encaisser un quatrième but de Julián Álvarez dans le temps additionnel.

Hé oui. Le Real de Madrid n'a pas pu avoir l'aide de l'arbitre cette fois-ci.

Belle victoire du FC Séville aux penalties en Europa League face à la Roma.

Mourinho n'aura pas gagné cette Coupe d'Europe.
Le FC Seville en est à sa 7eme victoire.

Les commentaires de Ferreri sur les tireurs de penalties m'ont fait dressé les poils.
Les entraineurs proposent à des joueurs de tirer mais ce sont ces derniers qui decident s'ils se sentent capables ou pas à la fin d'un match avec prolongations.
Dire que c'est étrange que des défenseurs et des milieux défensifs tirent des penaltys......... Thuram, Bossis, Lizzarazu, Leboeuf, et bien d'autres ont participé à ce genre d'exercice avec des résultats différents.
Les anciens sportifs sont souvent nuls assis derrière leurs micros. Ils oublient qu'ils n'ont pas été toujours au top.

**NOUVEL EPISODE** https://link.chtbl.com/Baratelli1
Vous voulez découvrir le secret de Dominique Baratelli pour arrêter les penalties ? Cet épisode est fait pour vous.
Vous plongerez dans son parcours, de sa formation accélérée au Cavigal de Nice jusqu'à Ajaccio, en passant par ses sélections en équipe de France Espoirs et en équipe de France A. Vous apprendrez comment il a réussi à se démarquer de ses compétiteurs (et amis) gardiens de but chez les Bleus, ces légendes appelées Carnus, Aubour, Dédé Rey... Il vous révélera ses rituels avant les matchs, car la légende de Nice et du PSG raconte tout pour le Podcast des Légendes, sans détour, avec gentillesse et beaucoup d'humour.
Note: Une transcription de l'interview est disponible.
Pour écouter la 1ère partie de l'épisode: https://link.chtbl.com/Baratelli1
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Un grand Dominique Baratelli. Nous avons eu beaucoup de très bons gardiens en France et certain atypique comme Ettori qui a fait une belle carrière malgré sa (relative) petite taille.

On a fait un match de foot contre des élèves de 3ème qui, pour la plupart, sont inscrits dans des clubs. Naturellement, on s'est pris une branlée 6-2 mais l'un des 2 buts, c'est moi qui l'ai marqué "à la Larqué" pendant la finale de la Coupe de France 1975 contre Lens....... Les élèves ont alors envahi le terrain et m'ont fait des milliers d'accolades...

Phil, tu es notre dieu

Mbappé Larqué a de la concurrence.

Ma nouvelle paire de baskets pour jouer au ballon rond le vendredi

Ivan Curkovic s'est confié sans langue de bois à Denis Chaumier dans le livre "AS Saint-Etienne 90 ans de Légende" Le mythique gardien de l'épopée des Verts n'épargne pas son ancien président et son ex-entraîneur. Extraits.
"En écartant le PSV Eindhoven en demi-finale, l’équipe avait suscité un courant de sympathie jamais vu en France pour une équipe de football et cette euphorie générale lui avait fait oublier l’enjeu premier : la finale n’était pas un but en soi, il fallait la gagner ! Mais une dimension nous a fait défaut. Sans qu’il soit forcément conscient, il y a eu un relâchement psychologique que subissent toutes les équipes novices à ce niveau. Ça n’a pas pardonné. Notre frustration a été d’autant plus grande que cette finale était vraiment à notre portée. Sur le plan national, la machine est repartie, avec le 10e titre de champion de France et une 6e Coupe de France, mais dans les compétitions européennes, nous n’avons jamais retrouvé nos dispositions de 1975 et 1976
Contre Manchester puis Liverpool, on n’a pas été à la hauteur. Chacun a son caractère, j’ai le mien. J’ai très vite compris la façon de vivre « à la française ». Il aurait fallu une mentalité plus accrocheuse, plus de détermination, car tout se passe dans la tête. On est battus en finale et on se retrouve à défiler sur les Champs-Elysées. On rentre bredouilles et on est célébrés comme jamais… Cette envie de gagner ne nous a jamais quittés, mais toute cette fièvre autour de nous, tous ces médias qui chantaient nos louanges… On ne pouvait pas se comporter comme si ça n’existait pas. Il a été parfois compliqué de refroidir les têtes. Et là, on a touché nos limites. Quand je suis arrivé au club en 1972, la formule était idéale avec une équipe dirigeante de grande qualité, quelques joueurs cadres, des jeunes issus du centre de formation et deux étrangers, pas plus. On n’a jamais imaginé mieux pour réussir. Mais on a eu tendance à l’oublier en chemin. Platini et Rep ont été engagés. Ils étaient tous les deux de grands joueurs, c’est incontestable. J’ai souvent parlé avec Michel, avec lequel je suis resté très ami. Il me disait : Je ne me suis jamais senti chez moi à Saint-Etienne, contrairement à Nancy. »
Ce n’est pas que Michel a été mal adopté mais l’ambiance n’était plus la même. Je ne dirais pas que Michel et Johnny ont déséquilibré l’équipe mais plutôt que quelque chose avait changé : on s’éloignait de ce que l’on faisait auparavant, de la fameuse formule idéale. L’équipe était plus spectaculaire dans son expression mais aussi plus fragile sur ses bases. C’était aussi d’ordre mental. Je ne peux que me répéter : tout est dans la tête, qui précède et commande le comportement sur le terrain. En France, ça passait encore, mais au niveau international, ce n’était plus aussi évident. En Yougoslavie, la tactique revêtait une importance particulière, pas trop en France, où les joueurs couraient beaucoup, à la différence des Yougoslaves. J’en ai souvent parlé avec Herbin : comme positionner une défense, comment associer Lopez et Piazza dans l’axe ? Comment rendre une équipe cohérente ? Comment assurer le lien entre les différentes lignes ? On cogitait ensemble, on cherchait à prolonger nos réflexions en les adaptant au terrain mais c’était lui, et lui seul, qui tenait le poste de commande. Les joueurs connaissaient notre mode de fonctionnement et ils l’acceptaient.
Mais peu à peu, tout le monde a pensé que je voulais prendre sa place. Herbin aussi. Entraîner, c’est être soumis en permanence à la critique du public, des médias, des dirigeants et même des joueurs. Je n’en voulais pas, je vous l’assure. Je lui ai dit en 1980 que je voulais arrêter ma carrière de joueur. Je sentais que mes coéquipiers m’écoutaient moins, qu’ils étaient moins réceptifs à mes conseils. Je me suis convaincu qu’il était temps d’arrêter. Avant un déplacement au mois d’août à Bastia, j’ai prévenu Herbin que j’allais disputer mon dernier match.
Je l’ai annoncé à Rocher, qui m’a regardé un peu interloqué. Après quelques secondes, il m’a lancé : «Bon, toi, tu veux une augmentation, hein ? » Il faisait fausse route. Mon choix était clair : c’était fini. J’avais de bons rapports avec lui, il m’a même proposé de devenir président délégué. Rien à voir avec Herbin, qui à force d’entendre que je voulais lui succéder, m’a tourné le dos, tout comme Garonnaire, qui était pourtant venu me chercher à Belgrade. Ils ont voulu mettre de la distance entre eux et moi.
J’ai pris une fois Herbin entre quatre yeux pour lui dire : « Ecoute-moi bien une fois pour toutes, je ne veux pas être entraîneur ! » J’ai eu beau lui dire qu’il ne voulait pas de son poste, il n’a pas voulu l’entendre. Il a été déstabilisé par un environnement qui ne l’a pas aidé. Et c’est ainsi que survient, souvent, le déchirement entre les hommes. J’ai toujours respecté les hommes, mais j’ai senti que le bateau tanguait et que j’étais devenu gênant. J’avais certes la capacité de devenir entraîneur, mais je ne le voulais pas. On ne m’a pas entendu. En voulant recruter des stars, Rocher s’est exposé à leur demande : gagner plus. L’ouverture de la boutique des Verts l’a aidé à alimenter une caisse noire et à les rétribuer. Il a été la propre victime de son moment de faiblesse, d’autant plus incompréhensible qu’en France les institutions mènent l’Etat et qu’il est impossible de les tromper sous peine d’être rattrapé et sanctionné. On en connaît les conséquences. Je l’avais compris. Un jour, devant les enquêteurs, Rocher a été obligé de présenter un tableau où figuraient les noms de tous ceux qui avaient touché de l’argent illégalement. Le mien n’y figurait pas…" #ASSE



https://www.boutiquedesverts.fr/livres/10275-livre-asse-90-ans-de-lu00c9gende-9782755667158.html

Jb, tu as pris ce bouquin ?

Football : l'ancien gardien Edwin van der Sar "dans un état stable, mais toujours inquiétant" après une hémorragie cérébrale

Celui qui avait gardé les buts des Pays-Bas entre 1995 et 2008 est en soins intensifs depuis vendredi.

Edwin van der Sar va rester en soins intensifs. L'ancien gardien de but néerlandais est "dans un état stable mais toujours inquiétant", a indiqué, samedi 8 juillet, l'Ajax Amsterdam, dont il était le directeur général jusqu'en mai dernier. Alors qu'il était en vacances en Croatie, Van der Sar, âgé de 52 ans, a été victime d'une hémorragie cérébrale vendredi. "La famille Van der Sar, tout comme l'Ajax, est reconnaissante et profondément touchée par les nombreux messages de soutien", a ajouté le club.

https://www.francetvinfo.fr/sports/foot/football-l-ancien-gardien-edwin-van-der-sar-dans-un-etat-stable-mais-toujours-inquietant-apres-une-hemorragie-cerebrale_5938505.html

Espérons qu' il s 'en sorte bien, c' était un super gardien !

Quelle très mauvaise nouvelle pour ce club qui a fait partie de l'histoire du foot français par sa longevité en ligue1, ses quelques trophées, ses belles épopées europeennes, ss supers joueurs des freres Revelli, Bernard Genghini, Teddy Richert, Pedretti, Martin, P-A Frau, Yannick Stopyra, Anziani, Isabey, Rust, Franck Sylvestre, Rousset, Stephane Paille, Franck Sauzée et tant d'autres.


Football : relégué en National 1 et menacé de dépôt de bilan, Sochaux ne répond plus
Le club doubiste, deux fois champion de France, a vu sa relégation en N1 confirmée par la DNCG, mardi. Il se dirige inéluctablement vers un dépôt de bilan.

https://www.francetvinfo.fr/sports/foot/ligue-2/football-relegue-en-national-1-et-menace-de-depot-de-bilan-sochaux-ne-repond-plus_5942774.html

https://www.estrepublicain.fr/sport/2023/07/12/fc-sochaux-au-lendemain-de-l-annonce-terrible-on-cherche-des-solutions-pour-eviter-le-depot-de-bilan-suivez-notre-direct