METALLICA

Castor Hetfield, fils de James Hetfield de Metallica, n'aime pas être comparé à son père : "Nous sommes des personnes à part entière."

https://www.metalzone.fr/news/171431-castor-hetfield-aime-pas-comparaison-james-metallica/

Metallica a donné le coup d'envoi de sa tournée européenne (et la setlist est colossale)

Ce concert était le premier déplacement de Metallica en Europe depuis la période précédant la pandémie, et les musiciens n’étaient manifestement pas d’humeur à livrer quelque chose de basique, offrant l’une de leurs setlists les plus singulières et les plus approfondies de ces dernières années.

Selon setlist.fm, Metallica a clôturé le show avec Master Of Puppets pour la première fois depuis 1997.

Vous pouvez découvrir l’intégralité de la setlist remplie de surprises ci-dessous.

Le groupe poursuivra sa tournée avec un show aux Pays-Bas, puis Metallica jouera au Hellfest le 26 juin, en Suisse le 29 et en Belgique le 1er juillet.

Setlist :
01. Whiplash
02. Creeping Death
03. Enter Sandman
04. Harvester Of Sorrow
05. Trapped Under Ice
06. Bleeding Me
07. Sad But True
08. Dirty Window
09. Welcome Home (Sanitarium)
10. For Whom The Bell Tolls
11. Moth Into Flame
12. Fade To Black
13. Seek And Destroy
Encore :

14. Damage, Inc.
15. One
16. Master Of Puppets

L'acteur de Stranger Things, Joseph Quinn, a joué Master Of Puppets avec Metallica dans les coulisses du Lollapalooza.

https://www.metalzone.fr/news/175301-joseph-quinn-metallica-coulisses-lollapalooza/

Metallica dans la tourmente.

La génération woke qui les a découvert avec Stranger Things a encore frappé en déterrant de vieilles photos du groupe où visiblement ils saluaient des amis en se reniflant le doigt
Ils demandent à ce qu'on boycotte le groupe.

https://www.newsweek.com/metallica-stranger-things-young-fans-backlash-past-comments-1731829?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2-PS8Jefjtq-sXUwaVCiagdd-pRo9yvqUaSdwoAsR6pibk7BaIGhi2qOg#Echobox=1659993262

Dave Mustaine de Megadeth affirme que "l'atout" de Metallica réside dans les guitares et descend Lars Ulrich : "Tout le monde se moque de la batterie"

https://www.metalzone.fr/news/180010-dave-mustaine-megadeth-atout-metallica-guitares-descend-lars-ulrich/

Nouvel album, nouvelle tournée (dont deux SDF).

Préventes jeudi Metallica -

https://www.metalzone.fr/news/180189-metallica-annonce-nouvel-album-72-seasons/amp/

Nouveau morceau :

🤮. Ok, ora mi fa male la testa.

è colorata di un mal di testa

Pris un pack 2 jours.

No, non lo farò mai

Le groupe pensait-il qu'un jour leur musique serait pour une pub de Renault?



Reprise par Scala & Kolacny Brothers
https://www.scalachoir.com/fr/

Metallica qui reprend Borderline de Thin Lizzy :

• ANNONCE •
Les billets 1 jour pour le M72 World Tour de Metallica seront mis en vente le vendredi 20 janvier à 10h ! Bénéficiez de la prévente Live Nation le jeudi 19 janvier à 10h !
— DEUX CONCERTS, DEUX SETS DIFFÉRENTS, PAS DE WEEK-END RÉPÉTITIF 🤟
MERCREDI 17 MAI avec Five Finger Death Punch & Ice Nine Kills !
VENDREDI 19 MAI avec Architects & MammothWVH !
http://ow.ly/yJys50MoQxs

Bien sympa ce titre.

Metallica partage une vidéo du groupe chantant Diamonds de Rihanna après le spectacle de la mi-temps du Super Bowl

https://www.metalzone.fr/news/183247-metallica-video-groupe-chante-diamonds-rihanna/

Nouveau titre :

Précommandé :

A l’avant première de la sortie de 72 Seasons, Metallica a nommé 3 groupes, Black Sabbath, Motörhead et Thin Lizzy.

Article dans la voix du nord de ce jour

https://www.ouest-france.fr/culture/musiques/72-seasons-ou-le-nouveau-printemps-de-metallica-1eab5724-d9f6-11ed-abda-5edc1b0bb3e8

Metallica sort son nouvel album intitulé 72 Seasons. Martial jusque dans ses mots, le nouvel uppercut des Hetfield, Ulrich & Co. fait son effet.
Qu’attendre d’un album de Metallica ? Lancinante, la question refait un tour de piste depuis un paquet de temps à chaque fois qu’une nouvelle fumée plus ou moins blanche s’extirpe du quartier général du groupe du côté de San Rafael en Californie. À défaut d’esquisser une réponse concrète et complète, quelques certitudes sont déjà acquises, notamment celle consistant à ce que l’auditeur, a fortiori s’il suit l’équipée depuis un moment, ne soit pas trop bousculé dans sa zone de confort. Les leçons du traumatique épisode St. Anger (vingt ans déjà !) et de cette batterie sonnant comme une casserole – pour résumer – ont bien été retenues.

Aucun risque avec 72 Seasons donc. Une fois encore, c’est une grande virée à travers les diverses “humeurs” de sa discographie que Metallica offre, telle une visite d’une attraction dont il aurait conçu le moindre décor, le moindre… rebondissement, au long des treize titres et 77 minutes du périple nouveau. Oui, l’explorateur patenté de ses 72 saisons – non, ce ne sont pas les trimestres qu’il lui reste à acquérir avant que Metallica ne puisse jouir d’un retraite pleine et entière – n’aura aucun mal à entendre des réminiscences des premières années thrash du groupe, à s’étonner des similitudes voulues ou non du riff principal de “Sleepwalk My Life Away” avec celui de “Enter Sandman” et ainsi de suite. Jusqu’à cette propension à “étirer” ces nouveaux morceaux et parfois au-delà d’introductions instrumentales qui aiment prendre leurs aises – seul “Lux Æterna” se contraint à un peu plus de trois minutes, comme par hasard jeté en pature en guise de premier single –. Et quand ce n’est pas son propre ADN avec lequel il semble vouloir impunément faire joujou, c’est un clin d’œil, une allusion, qui vient poindre ici ou là : à Motörhead ici, à Ozzy Osbourne là (les voix doublées au beau milieu de “You Must Burn!”), à la New Wave of British Heavy Metal d’antan plus généralement sur “Lux Æterna”.

Un problème en soi ? Tout le contraire, tant Metallica sait en l’occurrence caresser dans le sens du poil et y puise une énergie aussi étonnante que communicative. Oui, on tape généreusement du pied, du genou et de la cuisse en parcourant 72 Seasons. Oui, le headbanging sera tout autant et très souvent de la partie pour peu que l’écoute puisse se faire seul ou sous le regard de gens compatissants, et ça suffirait déjà amplement à notre bonheur.

Il serait toutefois dommage de passer à côté de ce que l’on entend nous dire ici avec… des mots. Bien que notoirement avare dans ses explications – et autant ne pas en espérer d’autres – James Hetfield a laissé percer que les 72 saisons en question correspondaient aux 18 premières années d’un homme, celles où tout se forme et se construit selon lui. Impossible pour autant, quitte à se tromper dans les grandes largeurs, de ne pas voir dans ce défilé vocal de cauchemars plus ou moins éveillés, de terreurs et d’angoisses répétées pouvant mener jusqu’à des pensées suicidaires, dans ces démons qui vous suivent comme des ombres ou ces nuits sans sommeil, autant d’allusions coups de poing à certaines de ses épreuves personnelles. Saisissante façon d’afficher une fragilité en s’appuyant sur la force d’un collectif qui semble faire plus corps que jamais.

3.5/5
AVIS DE LA RÉDACTION
Avis de la rédaction
Xavier Bonnet