Les J.O

Merci , merci et un grand merci, et aussi un merci à Mme Philounet, allez les bleus !!

Les Experts ont dévasté un studio de L'Equipe TV à Londres, las des critiques dont ils avaient victimes juste après l'Euro et le match contre l'Islande.

http://mcetv.fr/mon-mag/1308-jo-2012-les-experts-detruisent-le-plateau-tele-de-lequipe-tv-en-direct

«Je pense que les limites ont été dépassées, notamment de la part de Claude Onesta», l’entraîneur de l’équipe, lance Benoît Pensivy, directeur de la rédaction de L’Equipe TV.

«Ils s’en seraient tenus à mettre le bazar, ce n’aurait pas été grave, on s’y attendait. Les joueurs sont arrivés pour mettre joyeusement le bordel dans l’émission, mais sans esprit agressif. En revanche, je suis très surpris du côté règlement de compte de Claude Onesta qui a été l’initiateur du démontage du truc» ajoute-t-il.

Sur les images télévisées, le sélectionneur, qui entretient des relations houleuses depuis des semaines avec le journal L’Equipe, membre du même groupe que L’Equipe TV, amorce le démontage de la table du plateau, suivi notamment par Nikola Karabatic, dans une ambiance de 3e mi-temps arrosée.

«Effectivement, les studios ont été secoués, on s’en excuse, c’était dans l’euphorie de la victoire» réagit le directeur technique national Philippe Bana, alors que Claude Onesta n’a pas pu être joint. «Il n’y a pas eu de dégâts ou ils ne nous l’ont pas fait savoir. Sur Canal+, à Pékin en 2008, ils l’avaient beaucoup mieux pris quand on était passé au moment du démontage du studio» précise-t-il. Nicolas Karabatic, lui, ironise: «On a fait des dégâts sur les sportifs, mais sinon rien de grave. On en profite, on fête juste ça. On se laisse un peu aller».

«Il y a quand même préjudice financier. La table coûte très chère», précise cependant Benoît Pensivy, sans savoir quelles suites seraient données à cet incident. «Il faut que j’en discute avec ma direction. Ce qui est sûr, c’est qu’il y a une facture à régler», ajoute-t-il seulement, précisant que, outre la table principale, des décors ont également été détruits.

J'ai lu des articles sur ce qu'on fait les Handballeurs. Je n'ai pas vu leur passage tv et les dégâts. Je pense que nos athlètes n'auraient pas du se laisser aller à casser. Après tout, le fait d'être médaille d'Or ne justifie pas tout.

Par contre, je trouve déplacé ces journalistes ou responsables medias qui font leurs vierges effarouchées suite à cette incident. Ils crient, pour justifier les critiques négatives balancés sur ces sportifs trop vieux, finis, à ne plus sélectionner, à la liberté d'expression de la presse.
Ils seraient bons que nos journalistes arrêtent de donner leur avis et se contentent de donner des infos. Les pauvres sont choqués, mais se foutent complétement de comment ils peuvent descendre des types qui sacrifient leurs jeunesses, et bien d'autres années de leurs vie pour réussir. Ils n'ont rien retenu de la leçon Aimé Jacquet.

Et Holtz qui venait, pendant ces JO, taper sur les footeux prétentieux et riches. Mais les journalistes devraient se regarder dans un miroir et faire leur autocritiques.

Et sur un commentaire lu je ne sais où, ou un mec disait que les sportifs n'étaient rien sans les medias; je me demande si ce mec à reflechit un jour dans sa vie. Un sportif ne gagne pas sa vie en répondant à une interview. Par contre, le journaliste, s'il n'a pas de sportifs pour répondre à ses questions..........

Ca nous rappelle un peu les éditoriaux assassins de Jérôme Bureau alors directeur de la rédaction de ce même canard, éditoriaux qui fustigeaient les prestations de l'EDF de foot avant le Mondial 98 et qui n'auraient pas parié un kopeck sur une victoire finale. Rappelez-vous ce qu'Aimé Jacquet avait déclaré au soir du 12 juillet 1998 :

http://www.ina.fr/sport/football/video/CAC98033525/reactions-aime-jacquet.fr.html

Claude Onesta, l'entraîneur de l'équipe de France de handball, a tenu à exprimer ses "regrets" après le démontage musclé du plateau de L'Equipe TV par des joueurs dimanche et paiera "personnellement" les dégâts, selon la page Facebook de la Fédération française (FFHB).

"Claude Onesta a tenu à exprimer ses regrets pour ce dérapage. Il en assume l'entière responsabilité et en réparera les dommages personnellement", rapporte un communiqué publié sur la page Facebook de la FFHB vendredi soir.

"Il regrette que son attitude ait pu porter atteinte à l'image de l'équipe de France masculine et du handball français en faisant le jeu de nos détracteurs", poursuit le texte, qui précise en outre que Claude Onesta a présenté ses excuses à la rédaction de L'Equipe TV et à la direction générale du groupe.

L'entraîneur de l'équipe de France, sacrée championne olympique dimanche à Londres, avait jusqu'à présent nié que l'attitude des "Experts" dimanche soir sur le plateau de L'Equipe TV dans la capitale britannique fût du "hooliganisme", malgré des images télévisées de l'incident le montrant amorcer le démontage de la table du plateau, suivi notamment par Nikola Karabatic, dans une ambiance de 3e mi-temps arrosée.

Voila qui devrait faire taire certaines langues.

Et que nos journaleux reprennent leur métier à sa base et ne nous fassent pas profiter de leurs états d'âmes.

Après le champion de boxe Mohamed Ali en juin, c'est au tour du nageur américain Michael Phelps de devenir la nouvelle égérie de Louis Vuitton ! Un honneur pour l'athlète le plus médaillé de l'histoire qui n'a pas mis beaucoup de temps à se reconvertir... ! Mais alors que le jeune homme de 27 ans est mis à l'honneur dans le monde du sport et de la mode, c'est une nouvelle fracassante qui vient tout gâcher. En effet, le 13 août dernier, des photos de Michael Phelps ont été publiées sur le réseau social Twitter : la première dans un costume trois pièces un sac de voyage Louis Vuitton à ses pieds et la deuxième dans une baignoire en maillot de bain, lunettes de plongée sur le front et valise posée sur le sol...

Ces deux photos pourraient lui coûter très très cher ! En effet, selon le règlement du Comité International Olympique, il est interdit pour un athlète de prêter son image à des fins publicitaires entre le 18 juillet et le 15 août à une marque ne sponsorisant pas les Jeux Olympiques ! Inutile de vous rappeler que Louis Vuitton n'est pas sponsor de cette immense compétition sportive...

De ce fait, Michael Phelps pourrait donc être contraint de rendre ses quatre médailles d'or et ses deux autres médailles d'argent... 6 trophées bien mérités que le nageur pourrait voir filer sous son nez ! S'il est prouvé que les photos devaient être diffusées le 16 août, au lendemain de la date limite, le champion échapperait à toute sanction. Mais, dans le cas contraire, il serait contraint de verser une lourde amende et le CIO pourrait même prendre la décision de le disqualifier de la compétition...

Louis Vuitton a immédiatement réagi face à ces accusations et a clamé haut et fort que les photos de cette campagne officielle auraient été volées...

JO 2016: On y va ou non? La cérémonie d’ouverture met un boxon monstre chez les Français

JEUX OLYMPIQUES Beaucoup d’athlètes engagés samedi veulent être de la fête vendredi soir à Rio. Naturellement, les coachs ne sont pas d'accord…


Publié le 04.08.2016 à 07:24
Mis à jour le 04.08.2016 à 15:37

De l’un de nos envoyés spéciaux à Rio,

On a lancé ça innocemment, comme on demanderait à un collègue s’il veut du sucre dans son macchiato ou si la côte Atlantique vaut le coup d’œil au mois de septembre. Et voilà qu’on a ouvert les portes des enfers et créé quelques silences gênants. Tout cela en posant une seule question lors d’une journée consacrée aux médias au Club France : « Serez-vous présent à la cérémonie d’ouverture des JO vendredi soir (20 h à Rio, 1 h à Paris) ? »

Le malaise concerne exclusivement les athlètes engagés le lendemain. Car si devant votre télévision, le rôle des sportifs tricolores se résumera à un passage de quelques minutes derrière leur porte-drapeau Teddy Riner, il est en réalité bien plus exigeant, contraintes de l’organisation obligent.

« Une heure et demie de route, trois heures de parcage, une heure de cérémonie, de nouveau une heure et demie de bus, résume Florian Bruzzo, sélectionneur de l’équipe de France de water-polo, opposée au Monténégro samedi soir (dimanche 0 h 30 à Paris). Pas un seul de mes athlètes n’ose me dire que ça n’a aucune incidence physiologique. Il y a un mois et demi, je leur avais dit qu’on n’y irait pas. Mais depuis notre arrivée à Rio, ils me harcèlent… »

« Ce sont nos premiers Jeux, ça m’embêterait de rater la cérémonie, réplique l’un de ses joueurs, Mehdi Marzouki. Surtout que dans quatre ans, on ne sait pas si on aura la chance d’être à Tokyo. » Pour résumer le conflit qui agite la délégation française, on peut distinguer deux clans :

Les athlètes. Maintenant que je suis là, je veux des étoiles plein les yeux. C’est bien gentil de croiser Michael Phelps au self, mais on veut raconter à nos potes ce que ça fait de défiler au Maracana.
Les entraîneurs. Ils sont là pour penser aux sportifs et s’inquiètent de fatiguer bêtement leurs troupes en les laissant déserter le village olympique.

Si les archers français, engagés par équipes vendredi et samedi, ont prévu de passer leur soirée de vendredi devant la télévision, les handballeuses, opposées au Pays-Bas dès le lendemain midi, n’ont pas laissé filer l’affaire comme ça. « A Pékin et à Londres, j’avais manqué les deux cérémonies d’ouverture, grimace Alexandra Lacrabère. En plus, dans un stade mythique comme le Maracana, je ne voudrais pas la rater. »

A l’instar des basketteuses, elles devraient assister à une cérémonie light. Une fois le tour de stade bouclé, certains athlètes pourront s’éclipser et ainsi éviter d’attendre l’arrivée de toutes les autres délégations. « Si on peut faire cela, c’est OK, glisse le boss des handballeuses, Olivier Krumbolhz. Ma responsabilité pourrait être de leur dire non, mais je ne me vois pas les contredire sur un point qui leur tient autant à cœur dès le début de la compétition. »

« C’est la peste ou le choléra, lance Florian Bruzzo. En les laissant aller à cette cérémonie d’ouverture, je peux perdre un match de poule. En les empêchant, je peux perdre certains mecs qui m’en voudraient pour toute la quinzaine. » Mercredi soir, il devait annoncer aux poloïstes sa décision dans l’intimité du village olympique. Du coup, on n’a pas osé leur dire « à vendredi » en les voyant quitter le Club France.

Source : 20 minutes

http://www.20minutes.fr/sport/1905119-20160805-video-jo-2016-gardien-algerien-deja-tue-game-boulette-deux-fois-plus?utm_medium=Social&xtref=facebook.com/sport&utm_campaign=Echobox&utm_source=Facebook&utm_term=Autofeed#link_time=1470379815

Publié le 06.08.2016 à 08:25
Mis à jour le 06.08.2016 à 08:25

De notre envoyé spécial à Rio,

On avait beaucoup parlé de Pelé, imais sa santé chancelante l’a privé du déplacement. Puis, Gustavo Kuerten. Mais le triple vainqueur de Roland-Garros a été choisi pour entrer dans le Maracana avec la flamme olympique. Et quand la lumière du stade a dévoilé l’identité de l’ultime porteur de l’objet tant convoité, on s’est dit que les organisateurs avaient tapé dans le mille, à l’image d’une cérémonie d’ouverture très réussie.

Nom : Vanderlei de Lima. Profession : ancien marathonien. Signe particulier ? Est entré dans la légende des Jeux un dimanche de l’été 2004. Souvenez-vous, la scène avait fait le tour du monde. En tête à sept kilomètres de l’arrivée du marathon des JO d’Athènes, le coureur brésilien est agrippé par un déséquilibré, un prêtre irlandais à moitié à poil. Coupé dans son effort, Vanderlei de Lima repart mais ne peut faire mieux qu’un bronze, sommet de sa carrière.

Le voilà devenu l’incarnation du sportif cruellement battu par un élément extérieur, rôle qui lui vaut encore sa notoriété actuelle. Dix ans après Athènes, une télévision brésilienne le ramène sur les lieux du drame. « C’était spécial pour moi, expliquait-il à NBC avant les JO. J’y ai revécu toutes les émotions et je me suis rappelé tout ce qu’il s’était passé en 2004. » Et vendredi soir, en montant vers la vasque olympique? On parierait très fort qu'il a dû repenser à ce foutu prêtre irlandais.

Source : 20 minutes

Comme à Londres en 2012, les Bleus ont terminé la première journée des Jeux de Rio sans médaille samedi, avec deux 4e places pour lot de consolation et un flop chez les garçons, au basket notamment, pour la bande à "TP".

Pour une première breloque, il faudra donc attendre au moins 24 heures. Avec pourquoi pas un nouvel exploit au relais 4x100 m des nageurs tricolores, derrière leur leader Florent Manaudou.

Problème: en face ce seront les Américains et le roi de l'Olympe Michael Phelps, du haut de ses 22 médailles, dont 18 en or. Le choc sera royal, à 23h52 locales (04h52 françaises lundi).

En attendant, samedi, la journée fut difficile côté bleu. Surtout chez les garçons.

- 'Une gifle' -

"On a pris une gifle": la phrase de Rudy Gobert, le pivot de l'équipe de France, résume bien l'humiliante défaite de la bande à Parker contre l'Australie (66-87) pour son entrée dans le tournoi de basket.

Les désillusions se sont en fait multipliées, avec surtout la grave blessure de Samir Aït Saïd, jambe gauche brisée à la réception d'un saut, lors des qualifications de gymnastique.

Avec lui, c'est la principale chance de titre qui s'est déjà envolée pour l'équipe de France masculine, aux anneaux, même si le Lyonnais Cyril Tommasone peut raisonnablement viser une médaille, après avoir fini 3e au cheval d'arçons.

- Chutes à Copacabana -

Si une médaille était attendue samedi, c'était notamment du côté du tatami, à Barra, avec Walide Khyar. Raté ! Pressenti pour enclencher la dynamique des judokas bleus, le champion d'Europe en titre a calé précocement, au 2e tour, comme Laëtitia Payet chez les dames (-48 kg).

Echec également pour les archers français, emmenés par Jean-Charles Valladont, lui aussi champion d'Europe. Victorieux de la Malaisie en huitième de finale, le trio tricolore, avec Pierre Plihon et Lucas Daniel, s'est ensuite incliné en quart contre l'invité surprise australien.

Et échec encore pour les cyclistes, avec pourtant Romain Bardet, deuxième du Tour de France 2016, comme chef de file d'un peloton tricolore qui débordait d'ambition.

Mais le parcours carioca en a voulu autrement, entre chutes à répétition -notamment pour le "requin de Messine" italien, Vincenzo Nibali, à quelques km à peine de l'arrivée-, et côtes assassines.

Le Belge Greg Van Avermaet, sacré champion olympique de dans l'épreuve de cyclisme sur route, le 6 août 2016 à Rio © Adrian DENNIS AFP

Au final, sur la plage de Copacabana, c'est le Belge Greg van Avermaet qui s'est imposé, devant ses deux derniers compagnons d'échappée. Julian Alaphilippe, lui, a dû se contenter d'un accessit, avec la pire des places, la 4e.

Quatrième, c'est également la place à laquelle a échoué Lauren Rembi, jeune épéiste de 24 ans. Qualifiée pour les demi-finales après sa victoire contre la Brésilienne Nathalie Moellhausen, une élève de la "guêpe" Laura Flessel, la double championne olympique guadeloupéenne, il lui suffisait d'une victoire supplémentaire pour monter sur le podium.

Patatras ! La Hongroise Emese Szasz s'est montrée trop expérimentée en demies, puis pour la médaille de bronze c'est la Chinoise Sun Yiwen qui l'a emporté.

- Avant Manaudou et Lacourt -

Pas de médaille donc, et surtout pas côté natation, en soirée, avec la 8e place de Jordan Pothain en finale du 400 m nage libre, et la 7e place des Françaises et de leur leader Charlotte Bonnet en finale du relais 4 x 100 m libre.

Mais les stars de la natation française sont attendues dimanche soir, avec Florent Manaudou donc, mais aussi Camille Lacourt sur 100 dos et Yannick Agnel sur 200 libre.

Sous le chaud soleil carioca, samedi, il y a bien eu de très belles "perfs". Mais côté féminin exclusivement.

Victoire des "Braqueuses" du basket, pourtant privées de leur meneuse de jeu Céline Dumerc, contre la Turquie (55-39) ; victoire des handballeuses contre les Pays-Bas, vice-championnes du monde en titre (18-14) ; et victoire des filles du rugby à VII, contre l'Espagne (24-7) d'abord, puis le Kenya (40-7).

Pour la petite histoire, c'est Camille Grassineau qui restera à jamais la première à avoir marqué un essai dans l'histoire du rugby à VII aux jeux Olympiques, où ce sport a été admis cette année.

Le seul petit couac féminin est venu des footballeuses, battues par les Etats-Unis (1-0) et qui joueront, mardi face à la Nouvelle-Zélande leur qualification pour les quarts de finale.

Quant à la première médaille d'or du jour, elle a couronné une Américaine de 19 ans, Virginia Thrasher, à la carabine à 10 m. Les Chinoises étaient favorites avec Yi Siling, la tenante du titre à Londres, et Du Li, la championne olympique d'Athènes. Mais elles ont dû se contenter du bronze et de l'argent, sur le pas de tir de Deodoro.

Au passage, c'est à Deodoro également qu'a eu lieu le premier incident de ces Jeux, avec une balle (perdue ?) qui a traversé la paroi en plastique de la salle de presse de l'équitation. Un rappel que Rio n'est pas qu'une carte postale, comme le montrent aussi les deux morts par balle dans des faits divers vendredi près du Maracana et du Boulevard olympique le jour de la cérémonie d'ouverture.

07/08/2016 07:36:08 -  Rio de Janeiro (AFP) -  © 2016 AFP

Du rififi en tennis...........

http://www.20minutes.fr/sport/1905711-20160807-jo-2016-tres-enervee-kristina-mladenovic-demolit-incompetente-federation-francaise-tennis?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&xtref=facebook.com#link_time=1470556982

Le 07/08/2016 à 20:27:00 | Mis à jour le 07/08/2016 à 20:46:12 | 77 Commentaires
Dix-neuvième temps des séries et éliminé du 200m, Yannick Agnel a perdu son titre. Un choc pour le Niçois, sonné mais très digne, qui, même s'il savait que la tâche était ardue, croyait en son destin de champion.

Quel est votre sentiment, à chaud, après cette élimination dès les séries ?
Déçu, extrêmement déçu mais je me suis vraiment donné à fond, j’ai vraiment fait le maximum ce matin. J’ai fait tout ce que j’ai pu. Je savais que ça serait dense, qu’il faudrait nager 1’46’’ quelque chose pour passer. Hier, j’ai vu sur 400 que ça allait très vite le matin, qu’il fallait être frais et dispo… Je me suis vraiment donné à fond, à fond et malgré tout… ça me fait bizarre parce que je sais que je n’ai rien à regretter. J’ai pris du plaisir sur cette course même si ça a été dur à la fin. J’ai fait le maximum. C’est dur.

Qu’est-ce qui vous a manqué ?
Beaucoup de choses, certainement. De la fraîcheur physique, une constance sur les dernières saisons, peut-être aussi de la fraîcheur nerveuse, je n’en sais rien… Faire le débriefing à chaud, c’est toujours compliqué. Je suis passé par tellement de choses difficiles ces dernières années. C’était déjà une victoire en soi d’être ici, de montrer à tout le monde que, malgré tout, je pouvais changer mon étoile, que je pouvais être combatif… C’est ce que j’ai tenté de faire ce matin et même si ça ne passe pas, je suis content d’être ici, d’avoir tenté de défendre mon titre.

La confiance que vous affichiez, elle était de façade ? Il y avait malgré tout une petite lueur d’espoir ?
Si je suis dans une compétition, ça n’est pas pour faire le touriste… Il y a eu une lueur d’espoir en permanence. Je suis là pour me battre, j’ai tout le temps l’œil du tigre, j’aime ces moments. Je me suis donné à fond, je suis triste que ça ne passe pas mais je serai là pour les copains, pour la France. Je serai là.

Quand vous regardez les quatre années qui viennent de s’écouler, quel est votre principal regret ?
Je n’en ai pas. Aucun. Je suis content de toutes les décisions que j’ai prises. Elles sont toutes arrivées à point nommé. C’était soit je prenais cette décision, soit c’était ma santé qui était en péril… Elles m’ont vraiment sauvé. Partir aux Etats-Unis, revenir en France. C’était logique, à chaque fois. J’ai rencontré des gens formidables partout, à Nice, à Baltimore, à Mulhouse. Je ne remercierai jamais assez Bob (Bowman) dans un premier temps de m’avoir tiré de ça et après Lionel (Horter) et toute sa famille, tous ces gens avec qui on a construit ces deux années comme on a pu.

J’ai toujours pensé que ça serait difficile d’accéder à ces Jeux Olympiques et au final, j’y suis. Même si je n’ai pas pu aller jusqu’au bout de mon rêve, j’en ai profité à fond. Ça a une grande valeur pour moi parce qu’il y a eu des moments, dans les deux dernières années au moins, où je n’étais vraiment pas serein. Ça a été tellement dur. Vous savez, je parle beaucoup quand il y a un micro tendu mais je suis quand même quelqu’un d’assez pudique et il y a beaucoup de choses que je garde pour moi. Vous ne pouvez pas imaginer comme ça a été difficile. J’ai vécu des moments de bonheur intense, des trucs qui m’ont sauvé la peau mais sportivement, ça n’a pas été une mince affaire. Alors, pouvoir être malgré tout ici, c’est top.

C’est votre dernière compétition internationale ?
Certainement, même s’il reste encore des courses. Les Jeux Olympiques, au moins, c’est sûr parce que quand je vois les quatre dernières années, si je m’en retape quatre comme ça, vous allez me retrouver entre quatre planches.»

JO 2016 : le relais français ouvre le compteur de médailles, Phelps bat son propre record et Djokovic se fait sortir... Ce qu'il faut retenir de la nuit
Après une première journée bredouille, les athlètes français ont enfin ouvert le compteur des médailles, dimanche, grâce une médaille d'argent au relais masculin du 4x100 m nage libre.

Une médaille et une (petite) déception. Le relais 4x100 m français a ouvert dimanche 7 août le compteur des médailles bleues aux Jeux olympiques de Rio en remportant l'argent en finale. Mehdi Metella, Fabien Gilot, Florent Manaudou et Jérémy Stravius, venus chercher l'or, ont été devancés de 61 centièmes par le relais américain mené par Michael Phelps.

Ils ont craqué ! Invaincu depuis 2012 et le titre olympique à Londres, le relais 4x100 m français a cédé face aux nageurs américains et au roi Michael Phelps.

Le quatuor tricolore débloque toutefois le compteur des médailles bleues avec l'argent, en 3'10"53.

Imbattable. Le légendaire Michael Phelps a ajouté une 23e médaille olympique à son palmarès – une 19e en or – grâce à la victoire des Etats-Unis au relais 4x100 m nage libre.
De nombreuses déceptions chez les Bleus

Plusieurs chances de podium se sont évaporées pour les Bleus, avec les défaites des deux Français en lice en judo, dont la disqualification au premier tour de Priscilla Gneto, en -52 kg. Echec également pour Céline Goberville et Stéphanie Tirode au pistolet à 10 m, dès les qualifications.

Du côté de l'escrime, le vice-champion d'Europe Erwann Le Péchoux a été battu en huitième de finale par l'Américain Gerek Meinhardt. On pouvait aussi espérer un exploit de Pauline Ferrand-Prévot, la championne du monde 2014 de cyclisme sur route. Mais la Champenoise de 24 ans s'est fait piéger par une échappée.

En tennis, les doubles tricolores Mahut-Herbert et Tsonga-Monfils ont été éliminées dès le premier tour des doubles masculins. Il ne reste plus aucun joueur français dans la compétition.
Novak Djokovic éliminé au premier tour

Le rêve de médaille d'or olympique de Novak Djokovic s'est envolé dès le premier tour des Jeux de Rio. Le numéro 1 mondial a chuté contre toute attente face au "revenant" Juan Martin Del Potro, au terme d'une folle journée.

L'Argentin, vainqueur 7-6 (7/4), 7-6 (7/2) est décidément le bourreau du Serbe aux JO. Il y a quatre ans à Londres, il l'avait déjà privé de la médaille de bronze.
Les handballeurs français gagnent en souffrance face à la Tunisie

Les handballeurs français ont débuté leur campagne olympique par un succès très difficile dimanche contre la Tunisie (25-23) qui leur a causé une belle frayeur pendant toute la seconde période.

C'est Nikola Karabatic, auteur de 4 buts dans les moments cruciaux, qui a libéré les siens en fin de match (25-23). "Je ne suis pas satisfait de la façon dont cela s'est passé, mais tout de même satisfait de l'état d'esprit. C'est un match de reprise, un match que nous avons tout de même gagné", a expliqué l'entraîneur des Experts, Claude Onesta.
Les Braqueuses arrachent in-extremis une victoire face à la Biélorussie

Les basketteuses françaises ont arraché leur deuxième victoire en deux matches aux Jeux olympiques, face à la Biélorussie, 73 à 72, grâce à un panier au "buzzer" d'Endy Miyem.
Les sœurs Williams éliminées dès leur entrée en lice

Enorme surprise pour leur entrée dans le tournoi. Les doubles championnes olympiques en titre, invaincues en double dames aux JO, Serena et Venus Williams ont été éliminées dès le premier tour du double dames par la paire tchèque Lucie Safarova/Barbora Strycova, 6-3, 6-4.

Affaiblie par un virus, Venus Williams s'était déjà inclinée d'entrée la veille en simple, face à la Belge Kirsten Flipkens.
Les Françaises du rugby à VII éliminées en quart de finale

Les Françaises se sont inclinées en quart de finale du tournoi olympique de rugby à VII face aux Canadiennes (15-5), au stade Deodoro. Longtemps au coude à coude avec leurs adversaires, les Bleues ont craqué dans les deux dernières minutes en encaissant deux essais coup sur coup.

Elles disputeront lundi le match pour la 5e place face à l'Espagne.
Pour sa première participation aux JO, le Kosovo s'offre l'or.

Ce 7 août 2016 restera comme un jour mémorable pour le tout jeune pays des Balkans, entré par la grande porte dans le monde de l'olympisme. La judoka Majlinda Kelmendi a inauguré le palmarès olympique du Kosovo en remportant la médaille d'or dans la catégorie femmes (-52 kg).
Yannick Agnel annonce sa retraite internationale après les JO

"Vu les quatre dernières années que je viens de passer, si je m'en retape encore quatre comme ça, vous allez me retrouver entre quatre planches. Donc, il ne vaut mieux pas (continuer)."

Après sa sortie de route sur 200 m nage libre, la distance qui l'avait pourtant sacré champion olympique dans la piscine de Londres en 2012, le nageur français a annoncé prendre sa retraite internationale à la fin des Jeux olympiques.
La chute spectaculaire de la cycliste néerlandaise van Vleuten

Alors qu'elle filait vers le titre olympique de la course sur route, la coureuse néerlandaise a été victime d'une énorme chute dans la dernière descente. Transportée à l'hôpital, elle a été placée en soins intensifs. Selon la fédération néerlandaise, la coureuse est "consciente" et "parle", et ne souffre d'aucune hémorragie. Elle a posté plusieurs tweets depuis l'hôpital pour rassurer sur son état.

Et comme toujours nos journaleux et autres consultants s'expriment de façons desobligeantes envers les sportifs.
Entendu hier, un couillon dire que si les quatrieme place comptaient nous serions devant beaucoup de pays et qu'il avait manquait un peu de chance ou de determination à certains pour aller chercher le bronze.
Certainement que lui n'en manque pas de determination pour dire ses conneries, ni de chance pour avoir ce boulot.

Un autre sur FT se demandant ou Niko Karabatic allait chercher ses ressources qui n'existaient chez personne, même pas chez lui....................................... Allez comprendre.
Moi qui croyait naïvement que pour être journaliste, il fallait parler un français correct et ce faire comprendre de tous.

Lamentable.

D' accord, les commentaires sur l' ensemble des JO étaient franchement médiocres

Paris a obtenu les JO 2024 !!!!!!!!!!

Y a bien que Hidalgo pour croire que ce n'était pas fait.



Quelle belle hypocrisie de nos politiques.

Pathétique cette comédie ridicule

Et qui a du couter bonbon en argent avec le CIO tous ces français partis en avion pour cette comédie et la pollution engendrée (kerozene et carburants sur place). Tout ça pour se pignoler intellectuellement. Même pas un petit mot pour les français et voisins touchés par Irma. Juste leurs gueules comme d'hab.

Ouaip, et là c 'est Maria qui attaque la Guadeloupe...

6 milliard d'euros pour être exact ... Et pendant ce temps les étudiants galèrent , le travail se précarise et certaines personnes sont à la rue .

Les 6 milliards, c'est ce que vont couter les JO. Moi, j'évoquais juste le cout de ce déplacement inutile au Pérou.