Topic libre

qui, pour la 3ème fois consécutive cette année, voit votre serviteur, être sacré roi. a écrit:

Comment pourrait-il en être autrement? Vive Philou 1er.

Le saviez-vous ? L'inventeur du téléphone, c'est lui......

https://www.tombes-sepultures.com/crbst_1027.html

Le point de départ de cette nouvelle randonnée se situait en ce dimanche relativement froid à Crépy en Valois, fief des comtes du même nom, puissants vassaux du Roi de France. Nous stationnons sur un parking attenant à d'imposants remparts d'un château dont j'ignore le nom. Mille excuses donc mais en tous les cas ce qui est certain, c'est qu'à Crépy, les murs, on sait les faire.......

Aujourd'hui, le "Chef" de la rando, c'est Christian. Attention, car c'est au rythme d'un régiment en quête de sensations fortes, prêt à en découdre avec un hypothétique adversaire que nous abordons cette nouvelle escapade.

Un peu empruntés et rouillés au tout début, nous adoptons une cadence pour le moins "tranquille", le "Chef" étant déjà en tête et ne remarquant même pas nos petites faiblesses.









La campagne autour de Crépy en Valois dévoile ses charmes sous les yeux admiratifs des amis randonneurs qui, de temps à autre, n'hésitent pas à stopper leur progression pour contempler de superbes sites.



C'est Morcourt qui, le premier, nous gratifie d'une sérénité sans pareil. Seuls, les bruits de nos pas bercent notre attention, nos pas qui, à mesure que nous poursuivons notre marche, prennent un rythme plus soutenu dans cette petite localité au charme non dissimulé. Christian qui s'en rend compte, nous encourage et nous félicite avec un enthousiasme qui n'a d'égal que le sien.











Direction Béthancourt en Valois qui n'est guère éloigné de Morcourt. Le pas alerte de nos amis randonneurs nous fait gagner un temps précieux puisque nous arrivons très vite à Béthancourt, ayant au préalable admiré aussi bien des situations insolites telles que cette Peugeot 305 perdue au milieu de nulle part que des paysages absolument magnifiques.





Son église du XIIème siècle qui domine avec une certaine majesté la partie méridionale du village, nous offre l'opportunité d'en découvrir les contours mais malheureusement l'édifice est fermé.





Au cri d'un vigoureux "C'est reparti !!!!!!!!!!" lancé par un Christian déterminé, nous repartons arpenter la campagne picarde, passons Gilocourt où je rends un vibrant hommage à l'ami Robert Dumont tombé sous les balles de l'envahisseur allemand lors de la Libération de sa localité en 1944, puis après avoir fait quelques rencontres insolites, atteignons l'estomac dans les talons le charmant et pittoresque village d'Orrouy qui regorge de belles surprises, telles ce château qui fut entre autres le poste de commandement du Général Estienne, connu pour avoir été le "Père des chars de combat français" pendant la Première Guerre Mondiale.
Il est un fait avéré c'est que Christian a tout particulièrement bien choisi l'endroit du pique-nique. En effet, devant nous, se dresse une imposante église (L'Eglise St Rémi), elle aussi du XIIème siècle, une église qui, avouons-le, présente quelques similitudes avec celle mondialement connue d'Auvers sur Oise.



















Le ravitaillement, un moment convivial que tout le monde attend avec impatience, se veut être l'occasion de raconter de bonnes boutades (non non, je ne dénoncerai pas mes p'tits camarades ) et d'échanger nos impressions sur la randonnée en cours mais aussi de savourer et cela est la "cerise sur le gâteau" de ce repas champêtre, le rhum arrangé du "Chef" qui, jusqu'ici n'a jamais manqué à ses devoirs en en proposant quelques rasades pour nous réchauffer. "Succulent" : voici le qualificatif pour définir ce doux breuvage.

Il est maintenant temps de repartir pour affronter les 9 derniers kilomètres qui nous séparent de notre but. Ainsi, après un p'tit raidillon bien pentu, nous traversons sous des températures presque printanières des contrées boisées, toujours animés que nous sommes d'une bonne humeur communicative, bonne humeur portée par un soleil radieux surtout aux alentours de Glaignes. Les couleurs y sont chatoyantes pour nous dire au final que le printemps déjà est à notre porte.












Château La Couture

A mesure que nous progressons, la partie boisée laisse place, après la Remise de la Couture matérialisée par un superbe calvaire, à un tronçon beaucoup plus à découvert et ce, jusqu'à notre point de départ. Sur ces derniers kilomètres à proximité de la ferme d'Azemont, nous faisons une deuxième rencontre ô combien attachante. En effet, une superbe jument accompagnée de son poulain s'approche de nos amis randonneurs avec néanmoins une certaine prudence. "J'y vais, j'y vais pas ?" Tous deux opteront pour la 2ème solution.





Enfin, de cette magnifique randonnée dominicale, nous en voyons le terme. Soulagés, fatigués mais libérés d'être venus à bout de cette superbe aventure pédestre. Vivement la prochaine !!!

J'aime me promener sur les bords de Marne, vous le savez peut-être. Il s'agit pour moi d'un océan de sérénité notamment le lundi sur ma pause méridienne. Plutôt que de rester dans une salle des profs où personne ne se parle, tant qu'à observer le silence, j'avoue préférer le bruit des cormorans qui plongent de façon vertigineuse dans cette Marne pas toujours très propre, à la quête d'une proie savoureuse.

Et donc en ce samedi, et ce, dans le cadre d'une balade axée sur la découverte de notre patrimoine francilien, me voilà donc parti en compagnie de Mme Phil à la (re)-découverte de ce site où se côtoient joggeurs, promeneurs et rameurs bien déterminés à en découdre.

Le départ s'effectue depuis sur une placette sise à Neuilly-Plaisance, absolument dénuée de tout charme sous la houlette de notre guide prénommé Jean-Jacques déjà rencontré lors d'une précédente balade.

Nous traversons la Marne et atteignons l'imposante zone pavillonnaire de Bry sur Marne pas seulement connue pour accueillir le site de l'INA (Institut National de l'Audiovisuel) mais aussi pour avoir été le théâtre d'affrontements entre les Français et les Prussiens lors de la guerre de 1870.

Les canons prussiens étaient postés sur la colline de Noisy le Grand tandis que les Français, eux, avaient positionné leur artillerie en face sur le plateau d'Avron. Par conséquent, tout ce qui se trouvait au milieu, a subi d'importants dommages notamment le superbe château de Bry sur Marne qui sera détruit à 80% mais qui sera reconstruit à l'identique.














Le Château de Bry.

Nous poursuivons notre route vers le parc attenant au château (ayant été loué par Talleyrand), un parc où je me rends régulièrement quand le temps le permet. Les participants admirent l'aspect grandiose de l'endroit, d'autres non, puisqu'ils en profitent pour faire une halte aux gogues les plus proches, une vidange des 5 kilomètres devenant de plus en plus pressante. Nous repartons rapidement en n'omettant pas de rendre un vibrant hommage au vaillant sergent Hoff qui lors de la bataille de Champigny sur Marne, avait lui et ses hommes, repoussé des unités prussiennes à coup d'embuscades nocturnes.



Direction ensuite le cimetière où furent inhumés des gens locaux illustres tels que Joseph Favier, industriel qui fit don de sa propriété pour en faire une maison de retraite, Jean Valton, chansonnier, imitateur et humoriste, il fit, avec Robert Rocca, les beaux jours du cabaret le Caveau de la République. Il fut le représentant de TMC Monte Carlo / Monaco à l’émission des télévisions francophones des années 1969-1981 : Le Francophonissime. À l’issue de chaque émission, les candidats s’offraient des petits cadeaux : Jean Valton remettait rituellement des petits cactus en pot. Jean Valton fut en 1965, avant Max Favalelli, l’arbitre du jeu de télévision Le Mot le plus long présenté à l’époque par Christine Fabrega. Dans les années 1970, il fut sans doute, avec Maurice Biraud, l’artiste le plus sollicité pour enregistrer des disques publicitaires (div 4). Le Sergeant Hoff est en ce qui le concerne, enterré au Père Lachaise.
La gloire locale de Bry sur Marne a pour nom Louis Daguerre, un des inventeurs du daguerréotype qui est un procédé photographique mis au point par Nicéphore Niépce et Louis Daguerre. Il produit une image sans négatif sur une surface d'argent pur, polie comme un miroir, exposée directement à la lumière. Ses travaux, il les a réalisés dans sa superbe demeure qui, depuis, est devenue un musée :








Jean Valton

Après une petite montée, nous redescendons sur le centre ville où il nous est permis d'admirer pendant quelques la très jolie mairie ainsi que le superbe hôtel Malestroit.






Un vestige de l'ancien palais des Tuileries rapporté à Bry sur Marne.



Le temps passant, le guide nous fait savoir qu'il nous reste à parcourir deux petits kilomètres pour revenir à notre point de départ. En longeant la Marne, nous les "avalerons" en trois petits quarts d'heure après avoir franchi la magnifique passerelle de Bry (bâtie par Gustave Eiffel) qui soit dit en passant appartient à la fois aux communes de Bry sur Marne et du Perreux.





Une bien belle balade....................avant d'aller au concert de Mister Lizzy à Mennecy.....

Plutôt que de rester dans une salle des profs où personne ne se parle a écrit:

Chouette l'ambiance chez les profs.

Nous traversons la Marne et atteignons l'imposante zone pavillonnaire de Bry sur Marne pas seulement connue pour accueillir le site de l'INA (Institut National de l'Audiovisuel) mais aussi pour avoir été le théâtre d'affrontements entre les Français et les Prussiens lors de la guerre de 1870. a écrit:

Pour ces studios cinéma et tv aussi même s'ils sont fermés depuis quelques années maintenant.

Les générations passent et les Gaulois restent réfractaires.

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/greve-generale-retraite-1953

Ma femme s'est inscrite dans un club de marche nordique en septembre et s'est laissée tenter par une première course qui avait lieu samedi matin. Pas autant d'entrainement qu'elle aurait voulu, une entorse il y a quinze jours, ........ Elle a quand même été chercher son dossard jeudi dernier et s'est achetée une chevillère de sportive.
Bref, je devais la suivre pour l'encourager et j'ai fait les dix km avec elle sans les bâtons. 01h51, on a trouvé qu'on pouvait être content de nous.
J'ai même du faire un peu moins que ça car au dernier kilomètre, j'ai accéléré pour me positionner pour photographier ma femme à son arrivée.

Les marches nordiques, il y en a à l'assos à laquelle j'appartiens mais personnellement je ne suis pas tenté. Déjà l'autre fois à Crépy en Valois sur la rando de 20 km qui n'était pas "nordique", j'étais rincé.

La marche nordique, j'appelle ça "les skieurs de fond" ! Mais bravo à madame RJ !

La marche nordique plait à ma femme. Ca lui permet de marcher plus rapidement et longtemps grâce à la "propulsion" des bâtons.
Moi, marcher sans bâtons ne me gêne pas le moins du monde mais ma chérie veut que je m'inscrive l'année prochaine. Il m'en faudra donc.

https://www.feedback-editions.fr/au-fil-des-bords-de-marne.html?fbclid=IwAR0MRPe2R5Yz0yqHxqJ0EbkcpwxRIjZ9VBtgZMDafPi6dSwzN-z2bNpKYW8

Ce matin avec Mme Phil, vu le temps, on a eu la flemme d'aller à la randonnée.

SEJOUR DANS LE PERCHE

Samedi 8 avril

Réveil très matinal en ce samedi en vue d'une "expédition" dans le Perche, une région guère connue coincée entre la Normandie au Nord, la Bretagne à l'Ouest et la région Ile de France, à l'Est, une région où l'on ne s'arrête traditionnellement pas. Sur le bord de l'autoroute, on aperçoit un ou deux panneaux vantant les curiosités à voir mais cela s'arrête là. Un trajet sans encombres qui nous mène après un long passage sur des routes départementales au Verger situé à quelques kilomètres d'une charmante petite bourgade répondant au doux nom de La Perrière.

Au Verger, ce ne sont ni des pommes ni des poires ni des scoubidous qui nous y attendent mais une balade en calèche. Il n'en fallait pas moins pour ravir les Drôles qui, je le rappelle, s'étaient levés aux aurores, impatients qu'ils étaient de participer à ce séjour dont on savait pertinemment qu'il se déroulerait dans la plus grande
des convivialités.

Nous sommes accueillis par deux jeunes tenanciers qui nous présentent deux superbes juments percheronnes prénommées Fauvette et Bibine (tout un programme !!!) qui ont été pressenties pour nous embarquer dans un voyage complètement dépaysant. Tantôt, nous traversons la petite ville que nous avons évoquée précédemment à savoir La Perrière (et là, nos deux juments préférées mettent les gaz......), tantôt, nous sillonnons de part en part une forêt qui regorge de lieux absolument magiques tels que ce Chêne de l'Ecole d'une hauteur de plus de 40 mètres qui en impose (que nous reverrons ultérieurement lors de la randonnée qui suivra) ou bien le Château de Montimer (https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Montimer).

Le trajet secoue quelque peu, les juments quant à elles halètent au plus haut point mais heureusement pour elles il ne reste plus qu'une petite centaine de mètres à parcourir avant un repos bien mérité.






La Perrière









Après donc le réconfort, c'est donc l'effort qui nous attend et ce, pour une petite randonnée de 8 kilomètres. Partant de ce que l'on peut appeler un centre équestre pour percherons, nous entamons notre périple sous un éclatant soleil par la route forestière du Moulin Butin. Celle-ci d'entrée de jeu nous met bien en jambes puisqu'il s'agit d'une petite côte abritée par d'immenses chênes. Le plus haut d'entre eux, le plus gros aussi de par la circonférence de son tronc mais surtout le plus connu, on va dire, suscite un Waooouh !!!!! de la part des Drôles.









Christine, la "cheffe" se doit de temps à autre de discipliner le groupe qui tarde parfois à repartir et c'est ainsi que nous reprenons coeur vaillant, coeur battant tel un Chouan revanchard, soucieux d'en découdre avec un hypothétique fantassin révolutionnaire, le chemin qui nous mène vers le Château de Montimer. A gauche se dresse une imposante tour médiévale, dernier vestige d'un imposant château. A noter qu'une famille juive (d'où la présence de l'étoile de David sur le fronton) est venue s'y réfugier pendant la Seconde Guerre Mondiale, les habitants de la Perrière n'ayant rien dit risquant ainsi leur propre vie. Pour rendre hommage à ces courageux villageois, l'un des descendants en a fait un livre.

https://actu.fr/normandie/belforet-en-perche_61196/quand-la-perriere-cachait-une-famille-juive-pendant-la-guerre_43431269.html

https://www.amazon.fr/Une-histoire-Clara-Kamil-Rosner-Rosner/dp/2304049109











De l'émotion donc après cet épisode historique pour le moins troublant mais courageux, nous repartons et suivons d'un bon pas le GR22 qui nous fait traverser les hameaux environnants composés pour la plupart de corps de ferme pour le moins superbes et de jolies bâtisses.

A La Petite Grange, nous obliquons vers la droite , effectuons une boucle pour revenir ensuite sur La Perrière. A partir, il ne nous reste que quelques kilomètres pour regagner Le Verger et nos gîtes situés à une quarante de kilomères de là à savoir à Soligny la Trappe. Un bon repas nous y attendra ainsi qu'une bonne nuit réparatrice pour affronter la randonnée du lendemain.














Tangmo était là pour nous encourager......

Je vais suivre. Je connais pas ce coin du Perche.

Superbe mon Phil, je ne connais que Nogent le Rotrou dans le secteur, une belle petite bourgade.

Merci Phil pour la découverte du Perche

Dimanche 9 avril

La randonnée la plus longue de ce séjour nous attend et c'est un superbe lever de soleil qui nous accueille pour nous motiver. En effet, la plupart des participants n'ont pas bénéficié de la nuit réparatrice qu'ils espéraient. Mais bon, il s'agit tout de même de relativiser et c'est le coeur joyeux qu'après un p'tit dèj' fort copieux que nous prenons la direction pour Bretoncelles qui se distingue par une église à l'esthétique que personne ici, ne saura remettre en question.









La randonnée (13.5 km) s'annonce sous les meilleurs auspices car le temps est au beau fixe. La campagne percheronne s'ouvre à nous, nous dévoilant tantôt ses petits trésors via ce petit moulin d'Arrondeau tantôt ses paysages bucoliques et apaisants à la fois.









Une randonnée que l'on qualifiera de pas trop difficile. Le rythme de marche est en effet satisfaisant à tel point que certains Drôles n'hésitent pas à se raconter des histoires......drôles permettant ainsi de passer dans une atmosphère très détendue le temps sous un soleil radieux.

Marcher en ces lieux, c'est comme un cadeau que Dame Nature nous offre et ce, sans contrepartie. Le lieu-dit La Pilotière, grâce à son petit pont non dénué de charme, ravit les randonneurs que nous sommes. En effet, nous avons un peu l'impression de nous retrouver au beau milieu d'un jardin japonais. En fait, lorsque nous longeons la propriété, nous constatons non sans surprise qu'il s'agit d'un centre sportif qui propose des activités autour de la boxe, du tir à l'arc et plein d'autres sports. D'ailleurs, le proprio s'apercevant que j'observe longuement le site, me proposera des flyers. Il faudra que je pousse un p'tit 100 m pour rattraper le groupe.







Encore quelques minutes, et c'est l'heure du repas qui s'annonce, un temps convivial passé dans une superbe clairière où chacun en profite pour se reposer. Il fait bon voire presque chaud.







Il est temps de repartir. Même si nous ne sommes pas trop pressés, nous devons quand même respecter une certaine cadence pour ête à l'heure..........................à l'apéro......   .

Pour ce qui concerne la fin de notre périple, Christine l'organisatrice avait prévu un bonus via un petit crochet qui nous mène sur les vestiges d'une ancienne demeure aristocratique sise au beau milieu de la forêt. Il nous faut gravir un court raidillon avant de toucher à notre but. Il n'est guère évident d'imaginer qu'une telle demeure cossue avait été bâtie en ces lieux.







Notre balade arrive à son terme à Bretoncelles. Bien contents d'arriver à bon port, nous regagnons notre logis de fortune avec en tête plein de beaux paysages."Comme d'habitude", oserais-je dire. Et ce, malgré cette maison glauque devant laquelle nous sommes passés......











https://www.ouest-france.fr/normandie/bretoncelles-61110/restes-de-corps-decouverts-dans-l-orne-la-nonagenaire-n-avait-pas-ete-vue-depuis-huit-ans-44258a50-351f-11ed-919d-c96701fa2e2f

Week-end sur l’île de Groix en famille pour mes 60 ans.
Cela faisait plus de 20 ans que je n’avais pas mis les pieds sur cette très belle île.
45 minutes de bateau et  quel plaisir de redécouvrir le calme
Découverte totale pour ma femme et mes filles.
Si vous avez l’occasion d’y aller , n’hésitez pas.

Si je m'attendais à lire ce nom sur un forum de musique.......
Ca me ramène à mes années d'enfants quand mon père nous amenait chez une tante de l'un de ses copains de jeunesse. Nous y passions quand on se rendait à Condeau, voir des amis fermiers, cousins de ce copain. Si nous avions le temps, on faisait un tour sur le marché de Rémalard. Il y avait un charcutier médaillé d'or du boudin noir.

Merci, de nous faire participer à ces randonnées.

Merci Plc pour ces photos de Groix. J'ai travaillé avec une collègue dont le père est originaire de la-bas. Elle en parlait avec des étincelles dans les yeux de son île "familiale.