Livre sur Led Zeppelin « In The Evening And In The Light » l’auteur se présente.

Bonjour tout le monde, je me présente, je suis l’auteur de   « In The Evening And In The Light » le livre de plus de mille pages que les lecteurs ont baptisé « la bible » de Led Zeppelin. Je l’ai écrit en un an, poussant le vice jusqu’à aller à Berlin, c’est là que le dirigeable originel a donné son ultime concert le 7.7.80, et le jour de mon anniversaire, dans ma chambre d’hôtel, j’ai écrit le mot « fin » au bas de la dernière page. J’ai tenu à être le plus complet possible afin d’offrir au lecteur un ouvrage qu’il puisse lire un peu comme une saga. La motivation m’est venue de mes nombreux amis qui m’ont travaillé au corps pendant des années et aussi d’un livre que je ne citerai pas car il a eu la particularité de m’énerver avec ses absurdités assénées comme des vérités et son tissu de conneries et d’approximations. Un panneau « STOP » m’est apparu en grand et je me suis dit qu’il était plus que temps de remettre les choses à leur juste place. C’est ce que je me suis appliqué à faire  avec le plus grand soin en me replongeant au milieu de mes archives amassées depuis 1973 et des plus de 1.000 (mille)  enregistrements de concerts de ma collection. J’espère que vous l’apprécierez et que vous n’hésiterez pas à me contacter si vous avez des questions à poser. Je suis dispo si vous désirez m’inviter à une séance de dédicaces et je donne également des conférences retraçant l’histoire du groupe, émaillées de documents sonores rares si cela vous intéresse. Merci.
Photos avec Robert Plant à Brixton en 1993 et avec Déborah Bonham sur scène à Wattreloos

Bonjour Mitch. Bienvenue sur le LZF !!!!!!!!!! Où pourrait-on se procurer ton ouvrage, STP ? Moi, le bouquin qui m'a énervé en termes d'inexactitudes et là, je le cite, c'est celui de François Bon qui est particulièrement.....mauvais.

Hello Phil,
Merci pour ta reaction. Je comprends ton animosité à l’égard de certaines publications, c’est aussi le gros déclencheur qui m’a poussé à vouloir remettre l’église au milieu du village. Marre de lire à chaque fois ces histoires de débauches et d’excès que tous les groupes ont d’ailleurs pratiqué à l'époque, gentils Beatles y compris! Led Zeppelin, c’est autre chose que des ragots.
Tu peux le trouver sur Amazon.fr ou FNAC, pour la dédicace, il faudra attendre de se rencontrer si le livre te plaît n’hésite pas à en faire la pub parce que de ce côté là c’est pas top et pourtant il se vend bien bien. Je suis impatient d’avoir ton feed-back

Que la force soit avec toi Mitch

Merci mister Ian Fraser Killmister ��

Merci pour toutes ces infos et bienvenue.

Merci, à votre disposition pour toutes questions sur le dirigeable

J' en ai une qui me turlupine depuis de nombreuses années.
Lorsque j' ai écouté "Coda" la première fois, j' ai été totalement subjugué par "Poor Tom", à titre personnel je trouve que c' est une des plus belles chansons du dirigeable, ce mélange paradoxal entre le rythme folk-blues, la batterie saccadée et la mélodie de guitare mélancolique obsédante, donne un truc absolument génial.
Comment se fait-il que ce titre pourtant court, n' ait pas été choisi pour figurer sur le LED ZEP III

Tu vas trouver ça idiot à l’ère ou on « overburn » les cds jusqu’à 82 minutes mais en 1970, avec ses 43 minutes passées, Led Zeppelin III n’avait tout simplement plus d’espace suffisant pour accueillir cette magnifique chanson enregistrée le 6 mai 1970 aux Morgan Studios de Willesden (Londres) et mixée le 5 juin aux Olympic Studios de Barnes, Londres, par Andy Johns. Ça tient à peu de choses parfois. Pour ma part, j’aurais trouvé génial de le mettre en face B de Hey Hey What Can I Do, sortir deux inédits çà aurait été un coup commercial et artistique énorme. Avec 13 titres en mains pour l’album, Jimmy Page a dû faire un choix. Voilà j’espère avoir répondu à ta question

Super, merci bien.
Tu as raison c 'est un peu couillon, l' idée du single est excellente ;incroyable que ce bijou soit resté dans les tiroirs jusqu' en 1982...

Bonjour Mitch et bienvenue

Ton livre était sur ma liste d'envie du coup je l'ai commandé ca faisait trop envie

C’est super gentil, merci, j’espère qu’il te plaira

Bienvenue Mitch.

Merci

Va falloir que je me le procure

Aucune obligation mais si j’en crois les nombreux commentaires que je reçois en retour, si tu ne le fais pas, tu risques de rater « le » truc sur Led Zeppelin.  J’ai reçu uniquement 2 commentaires négatifs de la part de deux acheteuses qui l’ont reçu abîmé de chez Amazon, mais là je n’y peux vraiment rien

Un petit extrait pour vous donner une idée.
Nous sommes le 19 août 1968, quartier de Limehouse, actuel quartier de Chinatown, Soho, City of Westminster, Londres, Angleterre, quelque part dans Gerrard Street, probablement au numéro 30, même si le sujet prête toujours à controverses. Historiquement parlant, c’est là que ce serait déroulé ce que l’on considère comme étant la première répétition du futur Led Zeppelin. L’endroit en question est situé sur le site original du bureau de la Westminster Penny Post. Une plaque commémorative y a d’ailleurs été posée en 2008. C’est également là que se situait le célèbre Ronnie Scott’s Jazz Club inauguré le 30 octobre 1959. En 1965, l’établissement déménagera au 47, Frith Street (non loin du British Museum) où il se trouve encore aujourd’hui.
Un autre endroit parfois cité comme lieu de cette première répétition est un sous-sol situé au 27, Lisle Street, une rue parallèle à Gerrard Street. A cette l’époque, le bâtiment en question abritait Transat Imports, un célèbre magasin de disques spécialisé dans la musique Soul et le Rhythm ‘n’ Blues.
Mais, revenons plutôt à cette première répétition. Demain, 20 août Robert Plant fêtera ses 20 ans. La pièce située au sous-sol du bâtiment est remplie de matériel, il n’y a qu’une seule porte d’accès, aucune fenêtre, aucune aération, la chaleur est insoutenable. Les quatre musiciens qui s’y retrouvent pour la première fois, ont très peu d’espace pour bouger mais ils sont là dans le même but : découvrir s’ils peuvent jouer ensemble et, pourquoi pas, poursuivre l’aventure. Ils ne savent pas vraiment que jouer, finalement, leur choix se porte finalement sur « Train Kept A- Rollin’ », un titre composé par Tiny Bradshaw, Lois Mann et Howard Kay enregistré le 6 octobre 1951 et sorti en décembre de la même année sur le label américain King Records. C’est un titre qui faisait déjà partie intégrante des concerts des Yardbirds (1) de Jimmy Page.
Ils ont à peine joué quelques accords du morceau, que les quatre savent déjà qu’une espèce de magie fonctionne entre eux. A ce propos, John Paul Jones déclare : « Je me suis demandé si c’était moi ou si c’était vraiment bon ». Mais Jonesy n’était pas le seul à être de cet avis, voici ce qu’en pense Jimmy Page : « C’était incroyable, on avait simplement explosé tous les quatre. Au départ, Il y avait juste quatre individualités, mais cette énergie collective est devenue le cinquième élément. Celà s’était produit, un véritable coup de tonnerre, un éclair de lumière : boum ! Et on a tous fait : « woaw!!!’
Led Zeppelin est né. Le dirigeable va révolutionner la musique et dominer le monde du Rock jusqu’à sa disparition officielle annoncée par voie de presse, le 4 décembre 1980.
On raconte que c’est également dans cette pièce qu’auraient eu lieu les répétitions précédant l’enregistrement du 1er album. (2)
Voici le souvenir que les quatre acteurs en ont gardé individuellement :
John Paul Jones : « La toute première fois que nous avons joué ensemble, c’était à Gerrard Street, dans Chinatown à Londres, une petite pièce au sous-sol. Les murs étaient couverts d’amplis, il y avait juste une porte, c’est tout. On se regardait tous les quatre en se demandant ce qu’on allait pouvoir jouer. Il y avait bien cette vieille chanson des Yardbirds : « Train Kept A-Rollin’ » et la pièce a littéralement explosé! »
Robert Plant : « Je me rappelle bien de cette petite pièce, je me souviens qu’il y faisait très chaud et ça sonnait bien, c’était très excitant et très stimulant, vraiment. J’ai senti qu’il se passait quelque chose, non seulement à mon niveau, mais aussi pour les autres. C’était comme si on venait de découvrir une chose avec laquelle il fallait faire très attention car nous aurions pu la perdre, ce qui était remarquable, c’était la puissance. »
Jimmy Page : « Quand on s’est arrêté de jouer, on s’est rendu compte qu’une chose s’était vraiment produite, c’était très électrifiant. Excitant, oui, excitant, c’est le mot qui convient. Nous sommes revenus dans cet endroit pour y répéter en vue du premier album. »
John Bonham : « On a vraiment bien joué ce jour-là, tout s’est très bien passé. Même si c’était la première fois qu’on jouait ensemble on avait un bon feeling, et en effet, ça a marché. C’était bon, très bon même. Mais à cette époque, je ne savais pas que cela allait avoir le succès que ça a maintenant »
(1) Yardbird, que l’on peut traduire par volaille, est aussi un terme d’argot anglais qui désigne un bleu, un militaire consigné à la caserne ou encore quelqu’ un qui est détenu en prison.
(2) C’est possible mais peu probable au vu du timing très serré imposé par les concerts donnés en Scandinavie (voir la partie consacrée à « The New Yardbirds ») ainsi qu’au temps qu’imposerait la manutention du matériel à assurer entre la Suède, Soho et finalement Barnes, là où se situent les studios Olympic.
Mon sentiment semble se confirmer à ce sujet puisque, malgré une déclaration ultérieure, dans une interview de 2014, Jimmy Page mentionne le fait suivant : « On se réunit, on répète les morceaux pour l’album à Pangbourne. Puis on va jouer. »

Et encore un petit bout :


Parmi les réalisations de Jimmy Page, que ce soit en tant que producteur ou en qualité de guitariste, il est un épisode assez méconnu que pour vous le signaler, il concerne le domaine du 7ème art... le Cinéma ! En cette seconde moitié des années ’60, si l’on excepte un court passage en live avec les Yardbirds dans « Blow-up » de Michelangelo Antonioni sorti en 1966, la carrière cinématographique en tant qu’acteur s’arrête là. Par contre, Jimmy n’en avait pas encore tout à fait terminé avec le grand écran puisqu’on le retrouve à la guitare sur la musique composée par Brian Jones des Rolling Stones pour le film « Mord Und Totschlag » (A Degree of Murder) de Volker Schöndorf. La véritable traduction du titre allemand est « Meurtre et Homicide ». Ce film, sorti le 19 avril 1967 et dans lequel on retrouve en vedette Anita Pallenberg, a été primé au Festival de Cannes la même année. Pour information, l’actrice et modèle allemand a été la petite amie de Brian Jones avant de devenir celle de Keith Richards, sans oublier un bref passage par Mick Jagger en 1968.
Au niveau du line-up, c’est un peu un super groupe que nous avons-là, jugez un peu :
Bran Jones : sitar, orgue, guitare acoustique, Mellotron, dulcimer et harmonica. (Rolling Stones)
Jimmy Page : guitares électriques. (Yardbirds, Led Zeppelin)
Nicky Hopkins : piano. (session man pour les Rolling Stones, The Who, The Kinks, Cat Stevens, John Lennon, Jefferson Airplane...)
Peter Goslin : chant. (Renaissance)
Kenney Jones : batterie. (Small Faces, Rod Stewart, The Who).
Quant à l’ingénieur du son, ce n’est autre que... Glyn Jones, celui-là même qui enregistrera le premier album de Led Zeppelin ! La boucle est bouclée.

Merci Mitch

Bien le bon merci Mitch Mitch

Avec plaisir et merci à ceux et celles qui feront la dépense, si le livre vous plait, faites-en la pub autour de vous et laissez votre com sue amazon.fr ou la Fnac, thx

Je vais faire l'investissement en mars.

Reçu hier, je vais m'y mettre dès que j'ai fini les deux que j'ai en route (Peter Townsend  et Keith Richards

Pareil, en mars