REMASTERS 2014

Récupéré l'édition DeLUXE de PG qui tourne en ce moment!!!
Dès les premières mesures de CUSTARD PIE la magie opère : le son conserve le caractère brut
qui fait la force de l'album mais l'ensemble sonne plus lisible

Ça y est on a la date de sortie pour la dernière volée de remasters : vendredi 31 juillet 2015

Et voilà le détail :







Coda comprendra deux cd d'inédits avec entre autre "Sugar Mama" et "St Tristan's Sword"

L'info planétaire du trimestre!!!!!

et merci Blue Sky Bag

Voici le lien vers la page Amazon qui répertorie toute la came à venir

http://www.amazon.fr/gp/feature.html/ref=as_li_ss_tl?ie=UTF8&camp=1642&creative=19458&docId=1000844343&linkCode=ur2&tag=httpwwwparlop-21

SUGAR MAMA remastérisé

http://www.leparisien.fr/musique/audio-decouvrez-un-nouvel-inedit-de-led-zeppelin-07-06-2015-4841399.php

Génial merci, et vivement le 31/07 !!!

Jimmy Page sera une fois de plus présent à Paris à la Fnac des Ternes le mardi 23 juin 17h/18h pour répondre aux questions du public à l'occasion de la sortie du dernier lot de remasters le 31 juillet prochain.

https://twitter.com/LedZepNews/status/608067148376903680

http://www.ouifm.fr/posez-vos-questions-a-jimmy-page-avec-oui-fm/

Faites pêter les questions concernant la publication des archives live d'Earl's Court 1975 prévues pour venir après !!! Déjà qu'il confirme ce projet, dont tout le monde attend la concrétisation depuis 40 ans !

Description détaillée avec minutages et commentaires de Dave Lewis des "Companion" discs à venir
.... c'est par ICI http://www.tightbutloose.co.uk/tbl-news/presencein-through-the-out-door-coda-olympic-studios-playback-event-report-plus-exclusive-tbl-track-by-track-complete-companion-discs-preview/

Plant n'avait pas menti. On retrouvera bien John Paul Jones au chant lead sur la version de " Royal Orleans " (Reference Mix) !

La version d' "In The Evening" (Rough Mix) a pas mal fait parler d'elle, en bien, sur la toile au moment où elle fut brièvement proposée à l'écoute sur Amazon. Dave Lewis confirme de manière appuyée. Good.

Malgré le titre on ne peut plus douteux "10 Ribs & All/Carrot Pod Pod (Pod) (Reference Mix)" est donné comme un temps fort absolu de cette nouvelle campagne. Vivement l'écoute !

Sinon Page botte un max en touche concernant la sortie éventuelle d'archives live supplémentaires dans le futur. Et pourtant les cinq (oui les cinq) concerts de mai 1975 ont été enregistrés en multipistes et reposent dans les archives. Ce qui laisse rêveur sur les possibilités de montage d'un live de référence. Un de plus. Ça se fera. J'en reste persuadé.

Merci mon grand zan zu zan zan

http://consequenceofsound.net/2015/07/led-zeppelin-shares-never-before-heard-raw-version-of-in-the-evening-listen/

La vidéo du passage de Jimmy à la Fnac des Ternes, c'est ici:

http://www.fnac.com/Rencontre-exceptionnelle-avec-Jimmy-Page-a-la-Fnac/cp27206/w-4

Badgeholder a écrit:

La vidéo du passage de Jimmy à la Fnac des Ternes, c'est ici:

http://www.fnac.com/Rencontre-exceptionnelle-avec-Jimmy-Page-a-la-Fnac/cp27206/w-4

Merci pour ça, je n'en avais vu que des extraits, jusqu'à présent.

Pas de grandes révélations si ce n'est que Jimmy a une préférence marquée pour le vinyle, lui trouvant plus de profondeur que l'enregistrement sur support cd. Et il est applaudi pour cela. Mais il en a déjà parlé ailleurs.

Il y a eu également une interview filmée beaucoup plus longue (1h à peu près) réalisée à Berlin ces derniers jours. Le lien n'est plus dispo pour l'instant mais quelqu'un va sûrement poster une réactualisation. Si c'est le cas, je basculerai le lien ici. Ce sera en anglais en revanche.

Voilà l'interview de Jimmy à Berlin. Ça dure à peu près 30 minutes en fait.



Quelques éléments glanés lors de l'écoute pour les non anglophones :

Page dit qu'un des moments forts du disque compagnon de Presence, c'est le morceau "Pod". Ça montre que même sur une période ramassée de trois semaines, ce qui est la durée réelle des sessions de l'album, ils furent capables de sensibilité comme l'illustre ce morceau au piano de John Paul Jones avec des arrangements de guitare acoustique et électrique assez avancés dans leur état sur cette version mais pas de partie vocale.

Page dit que l'enregistrement de Presence fut un exercice complètement différent de celui de Physical Graffiti où il a fallu rassembler des sessions provenant de trois albums différents, du IV, de Houses of The Holy et de Physical Graffiti en lui-même, et leur donner une cohésion. Sur Presence c'était au contraire le sentiment d'urgence qui prévalait. Page et l'ingénieur du son Keith Harwood, avec qui Jimmy s'entendait très bien, avaient mis au point un système tournant de plages de repos entre les sessions et c'était au premier levé de réveiller l'autre afin d'avancer le plus rapidement possible dans le travail studio.
Pager dit que le choix des Musicland Studios à Munich a été dicté par leur très bonne réputation, qu'ils étaient très bien entretenus et qu'il n'y avait aucun risque de panne en cours d'enregistrement. C'est marrant, car il ne parle pas du tout de leur statut de Tax Exile au regard du fisc anglais, qui en contrepartie du fait qu'ils échappaient à l'imposition courante sur les revenus, leur interdisait de rester sur le territoire national plus de trois semaines par an, je crois, pour pouvoir continuer à bénéficier de cet avantage. Le choix d'un studio en dehors du Royaume Uni, c'est cela avant tout, tout comme ce fut le cas en Suède, aux Polar Studios lors des sessions d'ITTOD. Et pareil pour "Bonzo's Montreux" sur Coda, qui fut enregistré en Suisse par Page qui rejoignit John sur place car il y résidait pour des raisons fiscales.

Intervient ensuite une question demandant à Jimmy si ce fut difficile d'opérer les sélections de morceaux pour alimenter les disques compagnons. Jimmy répond que ce ne fut pas difficile mais long, très long. Il a fallu qu'il prenne le temps de tout écouter lui-même. Il ne voulait pas nommer un assistant qui soit en charge de cette écoute et qu'il lui fasse un rapport, un compte-rendu, à l'issue. Jimmy a donc rédigé par écrit des notes d'écoute copieuses, mais la sélection s'est imposée d'elle-même. Même si ça a été mobilisateur en temps, Page dit que réécouter toutes ces bandes à été un moment grisant, que c'était plaisant de se remémorer les détails de la participation musicale de tous les membres du groupe. Jimmy dit enfin qu'il est satisfait du travail accompli au final, car si on prend en compte le matériel des disques compagnons, ce qu'ils publient double le temps d'écoute global disponible de matériel studio.

Question demandant à Jimmy s'il a déjà songé à fracasser sa guitare sur scène.    Page dit qu'il se sent trop relié à ses instruments pour les traiter comme quantité négligeable. Il prend l'image du livre de poche par comparaison à un livre en édition limitée et soignée. Voilà le sentiment que lui inspire la guitare, un objet digne de respect et de soin.

Question bateau mais intéressante sur l'album LZ préféré de Jimmy. Page répond le premier album. Il a donc apparemment changé son fusil d'épaule, puisque pendant des années il a répondu Presence. C'est le côté précurseur, avant-garde qui séduit Jimmy sur cet album, qui a changé définitivement la face du rock et c'est intervenu à cet instant précis. Jimmy joue la Telecaster donnée par Jeff Beck sur tout l'album. Pour le II il passera à la Les Paul mais pour l'instant c'est uniquement la Telecaster côté électrique.

Question concernant l'album LZ le plus difficile à produire pour lui. Jimmy répond Coda. Les circonstances entourant cet album, le décès de John Bonham, ont rendu l'exercice épineux, délicat. Il ne fallait pas rater l'hommage rendu au batteur. Et Jimmy précise que Coda a été réalisé par obligation contractuelle. Information qui m'interroge car j'aurais crû qu'ayant monté leur propre label, Swan Song, ils se seraient placés en dehors de ces obligations... A voir. A moins que la distribution de leurs albums ait continué par contrat à être assurée par Atlantic, ce qui les liait encore à leur ancien label, d'une certaine manière. Ils lui auraient donc dû un album au moment du décès de John Bonham en 1980.

On demande à Jimmy s'il sait jouer d'un autre instrument que la guitare, comme le piano ou la batterie. Il répond par la négative.

A-t-il un guitariste préféré ? Jimmy botte en touche et dit qu'il y en a trop à citer. Au regard de son rôle historique et novateur, s'il ne devait garder qu'un nom, il citerait Les Paul. Ce que je ne comprends pas, c'est qu'il parle d'aspects techniques et d'enregistrements multipistes à cet instant. A réécouter.

Merci camarade

Merci Blue Sky

Rauque & Fuck consacre sa une et pas que à LZ ce mois-ci.

Ca va être pour moi...

Blue Sky Bag a écrit:

A moins que la distribution de leurs albums ait continué par contrat à être assurée par Atlantic, ce qui les liait encore à leur ancien label

Je crois bien que c'est cela Blue Sky Bag : citation de Abe Hoch page 296 du bouquin de B.Hoskyns version française: "Le label [Swan Song] était le propriétaire principal des bandes mères et a signé un loan-out deal avec Atlantic". Note du traducteur: "type de contrat dans lequel l'artiste crée un label qui loue ses services à une maison de disques"

Sinon, merci beaucoup pour le compte-rendu et la traduction Blue Sky

Une "Rough" version de When the levee breaks à paraitre sur Coda deluxe ... la ligne mélodique
que chante PLANT n'est autre que celle de Black Country Woman ... étonnant!!!!!!

http://www.ouifm.fr/led-zeppelin-un-nouvel-extrait-des-dernieres-reeditions/

Oui j'ai vu ça. Merci cher Ericm !!!!!

En train de m'écouter le disque compagnon de Presence.
Je trouve qu'ils ont vraiment raté le coche avec "10 Ribs & All Carrot Pod Pod" l'instrumental signé Jones au piano. En même temps ce titre fait partie des authentiques plaisirs d'écoute de cette série de remasters.  Morceau très prometteur, avec arrangements déjà à un stade avancé, guitares acoustiques, électriques, batterie. Plant aurait pu compléter avec des textes et une ligne de chant à posteriori et Page finaliser derrière avec peut-être un solo et des compléments d'arrangement. Un peu dans l'esprit de ce qu'avaient fait les Beatles avec "Free As A Bird". Ça ne m'étonnerait pas du tout que cette idée ait traversée l'esprit de Page, mais avec Plant qui continue à freiner des quatre fers dès qu'on prononce le mot Led Zeppelin, c'était évidemment irréalisable. Dommage...